Comme la retraire est un passage obligé après un dur labeur, ce Lébou bon teint ne pouvait échapper à la règle. A l’occasion de son pot de départ, les hommages ont plu. Le fait est rare. Mais l’homme en vaut la chandelle à l’endroit de ce marathonien qui durant tout le temps qu’il a passé à la tête du Secrétariat Général Permanent de la FANAF, a abattu un travail de titan.
«La cérémonie qui nous réunit est à la fois professionnelle et familiale», note le cœur serré Mame Aly Konte, à l’occasion du pot de départ devant un public attentif. Selon lui, pas besoin de ressasser les faits d’armes de Pape Ndiaga Boye à la tête de la FANAF. Non seulement son action mérite qu’on lui décerne un triple A, en notation financière, mais les historiens du présent et autres acteurs de l’Industrie de l’Assurance ont eu tout le loisir de le faire pendant toutes ses années à l’égard de cet homme chaleureux et méticuleux.
Au cours de ce qui est convenu un au revoir, la cérémonie a viré à des invocations philosophiques. Jean Paul Sartre a été évoqué quand Mame Aly Konte comparait Simone De Beauvoir à la femme de l’illustre Boye. «Elle est irremplaçable. Pour tout cela je lui renouvelle mon amitié et lui exprime ma profonde gratitude. Merci ma chérie pour tous les sacrifices consentis et pour ceux à venir», philosophe Mame Aly Konte.
Pour finir, il a conclu sur ce qui caractérise Papa Ndiaga Boye : l’éthique et la responsabilité. Au cours de cet au revoir également les présidents des fédérations nationales d’assurances en Afrique de l’ouest et du centre, affiliées à la FANAF avaient été auparavant unanimes à se féliciter du ‘‘travail qu’il y a accompli, notamment dans des moments qui n’étaient pas évidents’’ selon eux.
Idrissa Gueye
«La cérémonie qui nous réunit est à la fois professionnelle et familiale», note le cœur serré Mame Aly Konte, à l’occasion du pot de départ devant un public attentif. Selon lui, pas besoin de ressasser les faits d’armes de Pape Ndiaga Boye à la tête de la FANAF. Non seulement son action mérite qu’on lui décerne un triple A, en notation financière, mais les historiens du présent et autres acteurs de l’Industrie de l’Assurance ont eu tout le loisir de le faire pendant toutes ses années à l’égard de cet homme chaleureux et méticuleux.
Au cours de ce qui est convenu un au revoir, la cérémonie a viré à des invocations philosophiques. Jean Paul Sartre a été évoqué quand Mame Aly Konte comparait Simone De Beauvoir à la femme de l’illustre Boye. «Elle est irremplaçable. Pour tout cela je lui renouvelle mon amitié et lui exprime ma profonde gratitude. Merci ma chérie pour tous les sacrifices consentis et pour ceux à venir», philosophe Mame Aly Konte.
Pour finir, il a conclu sur ce qui caractérise Papa Ndiaga Boye : l’éthique et la responsabilité. Au cours de cet au revoir également les présidents des fédérations nationales d’assurances en Afrique de l’ouest et du centre, affiliées à la FANAF avaient été auparavant unanimes à se féliciter du ‘‘travail qu’il y a accompli, notamment dans des moments qui n’étaient pas évidents’’ selon eux.
Idrissa Gueye