Dans l’industrie, renseigne la Dpee, l’insuffisance de la demande (44%), l’approvisionnement difficile en matières premières (28%), la concurrence supposée déloyale (22%) et les difficultés de recouvrement des créances (22%) ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité. Par ailleurs, le climat des affaires s’est tassé (-3,7 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs à la production et aux perspectives de production.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, la Dpee note que les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont les difficultés de recouvrement des créances (67%), la concurrence supposée déloyale (33%), la fiscalité (33%), l’accès difficile au crédit (33%) et l’insuffisance de la demande (33%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est affiché moins reluisant (- 10,5 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes (publiques et privées).
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (63%), l’insuffisance de la demande (50%), la concurrence jugée déloyale (25%) et la fiscalité (25%) comme les principales entraves à l’activité, en avril 2020. En sus, le climat des affaires s’est dégradé de 3,5 points dans le sous-secteur, en rythme mensuel.
S’agissant du commerce, l’approvisionnement difficile en marchandises (67%), l’accès difficile au crédit (67%), les difficultés de recouvrement des créances (67%) et l’insuffisance de la demande (67%) sont les principales contraintes évoquées par les interviewés, en avril 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est renforcé (+1,9 point) en rythme mensuel, sous l’effet de l’amélioration du solde d’opinion relatif aux perspectives de commandes.
Adou FAYE
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, la Dpee note que les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont les difficultés de recouvrement des créances (67%), la concurrence supposée déloyale (33%), la fiscalité (33%), l’accès difficile au crédit (33%) et l’insuffisance de la demande (33%). Par ailleurs, le climat des affaires s’est affiché moins reluisant (- 10,5 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes (publiques et privées).
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (63%), l’insuffisance de la demande (50%), la concurrence jugée déloyale (25%) et la fiscalité (25%) comme les principales entraves à l’activité, en avril 2020. En sus, le climat des affaires s’est dégradé de 3,5 points dans le sous-secteur, en rythme mensuel.
S’agissant du commerce, l’approvisionnement difficile en marchandises (67%), l’accès difficile au crédit (67%), les difficultés de recouvrement des créances (67%) et l’insuffisance de la demande (67%) sont les principales contraintes évoquées par les interviewés, en avril 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est renforcé (+1,9 point) en rythme mensuel, sous l’effet de l’amélioration du solde d’opinion relatif aux perspectives de commandes.
Adou FAYE