chroniques
M. Pierre Goudiaby Atépa, le Président du conseil d’administration (PCA) de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM)
Il s’exprimait lors de la présentation par les dirigeants de Impaxis Securities, d’une plateforme technologique innovante permettant à ses clients nationaux, sous-régionaux et internationaux d’intervenir à partir de leur ordinateur ou mobile à la BRVM.
« Toutes les entreprises qui ne feront pas de l’innovation, sont appelées à disparaitre », a ajouté M. Atépa. C’est, selon lui, ce qu’a compris Impaxis Securities en lançant sa plateforme. De l’avis du PCA de la BRVM, aujourd’hui, l’avenir, surtout des jeunes est dans les nouvelles technologies de la communication. Selon lui, le mobile est devenu le moyen de communication le plus utilisé en Afrique et le continent est devenue le deuxième marché du mobile après l’Asie avec 17 millions de téléphones portables.
M. Atépa a profité de l’occasion pour aborder quelques chantiers de la BRVM. Parmi ceux-ci, il y a le lancement du 3ème compartiment destiné aux PME/PMI à fort potentiel de croissance.
Selon lui, il y a beaucoup d’entreprises publiques de la sous-région qui rechignent à se faire coter à la Bourse. Il a suggérer de s’inspirer de l’exemple de certains pays qui obligent certaines entreprises ayant certaines tailles d’être cotées à la bourse.
Sur un autre registre, le PCA de la BRVM reste préoccupé par la mobilisation des ressources de la diaspora. « C’est la diaspora qui a construit Israël et l’Inde », avance-t-il.
La création d’un compartiment pour les matières premières est également un chantier cher à M. Atépa qui s’est offusqué que les matières premières africaines soient cotées à Londres.
Aussi selon le président de la BRVM, il faut poursuivre les roadshows et Dubai et Abu Dhabi sont les prochaines destinations.
Le dernier chantier qui n’est pas des moindres est que la mise en place de maisons de la bourse soit une réalité. Selon le PCA de la BRVM, ces maisons devraient recevoir les investisseurs et non les hôtels. « La BRVM souhaite être la colonne vertébrale de l’économie », a laissé entendre M. Atépa.
Ismaila BA
« Toutes les entreprises qui ne feront pas de l’innovation, sont appelées à disparaitre », a ajouté M. Atépa. C’est, selon lui, ce qu’a compris Impaxis Securities en lançant sa plateforme. De l’avis du PCA de la BRVM, aujourd’hui, l’avenir, surtout des jeunes est dans les nouvelles technologies de la communication. Selon lui, le mobile est devenu le moyen de communication le plus utilisé en Afrique et le continent est devenue le deuxième marché du mobile après l’Asie avec 17 millions de téléphones portables.
M. Atépa a profité de l’occasion pour aborder quelques chantiers de la BRVM. Parmi ceux-ci, il y a le lancement du 3ème compartiment destiné aux PME/PMI à fort potentiel de croissance.
Selon lui, il y a beaucoup d’entreprises publiques de la sous-région qui rechignent à se faire coter à la Bourse. Il a suggérer de s’inspirer de l’exemple de certains pays qui obligent certaines entreprises ayant certaines tailles d’être cotées à la bourse.
Sur un autre registre, le PCA de la BRVM reste préoccupé par la mobilisation des ressources de la diaspora. « C’est la diaspora qui a construit Israël et l’Inde », avance-t-il.
La création d’un compartiment pour les matières premières est également un chantier cher à M. Atépa qui s’est offusqué que les matières premières africaines soient cotées à Londres.
Aussi selon le président de la BRVM, il faut poursuivre les roadshows et Dubai et Abu Dhabi sont les prochaines destinations.
Le dernier chantier qui n’est pas des moindres est que la mise en place de maisons de la bourse soit une réalité. Selon le PCA de la BRVM, ces maisons devraient recevoir les investisseurs et non les hôtels. « La BRVM souhaite être la colonne vertébrale de l’économie », a laissé entendre M. Atépa.
Ismaila BA
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