«Après ses avancées reconnues par les distinctions lors de la 42e Assemblée de l’Oaci à Montréal, le Sénégal a l’occasion d’améliorer à nouveau ses scores à l’issue de cet audit », renseigne le document.
A la réunion d’ouverture de l’audit ce lundi 20 octobre, le Directeur général de l’Anacim a souligné que depuis les derniers audits de 2019 pour la supervision de la sécurité et 2024 pour les accidents et incidents d’aviation, le Sénégal a poursuivi ses efforts en actualisant son cadre législatif et réglementaire, renforcé les capacités humaines et techniques de l’autorité de l’aviation et amélioré les procédures d’enquête sur les accidents et incidents d’aviation entre autres. Dr Diaga Basse a, au nom du Ministre des Transports terrestres et aériens, exprimé toute la disponibilité et l’engagement du Sénégal pour la réussite de cette mission de l’Oaci.
Pour le Directeur général de l’Anacim, ces efforts du Sénégal témoignent de la ferme volonté de l’Etat et des acteurs aéronautiques de garantir la sécurité et la sûreté des opérations aériennes, condition essentielle à la confiance du public et au développement durable de notre secteur aéronautique. Selon lui, c’est un exercice de partenariat, destiné à renforcer notre dispositif national et à nous inscrire pleinement dans la vision de l’Oaci pour un ciel mondial sûr, efficace, harmonisé et durable. Pour le Chef de l’équipe d’audit, Frédéric Prillieux, ce Programme d’audit de l’Oaci sert à mesurer et surveiller les capacités de supervision de la sécurité et pour améliorer de façon continue les performances de sécurité des Etats et de l’Aviation mondiale.
Le Directeur du Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (Bea Sénégal) a pris part à la cérémonie d’ouverture. Mamadou Gningue pense que notre système d’aviation civile sortira de cet audit ragaillardi. Un second audit sera organisé prochainement et consacré au domaine des Services de la navigation aérienne (Ans).
Adou Faye
A la réunion d’ouverture de l’audit ce lundi 20 octobre, le Directeur général de l’Anacim a souligné que depuis les derniers audits de 2019 pour la supervision de la sécurité et 2024 pour les accidents et incidents d’aviation, le Sénégal a poursuivi ses efforts en actualisant son cadre législatif et réglementaire, renforcé les capacités humaines et techniques de l’autorité de l’aviation et amélioré les procédures d’enquête sur les accidents et incidents d’aviation entre autres. Dr Diaga Basse a, au nom du Ministre des Transports terrestres et aériens, exprimé toute la disponibilité et l’engagement du Sénégal pour la réussite de cette mission de l’Oaci.
Pour le Directeur général de l’Anacim, ces efforts du Sénégal témoignent de la ferme volonté de l’Etat et des acteurs aéronautiques de garantir la sécurité et la sûreté des opérations aériennes, condition essentielle à la confiance du public et au développement durable de notre secteur aéronautique. Selon lui, c’est un exercice de partenariat, destiné à renforcer notre dispositif national et à nous inscrire pleinement dans la vision de l’Oaci pour un ciel mondial sûr, efficace, harmonisé et durable. Pour le Chef de l’équipe d’audit, Frédéric Prillieux, ce Programme d’audit de l’Oaci sert à mesurer et surveiller les capacités de supervision de la sécurité et pour améliorer de façon continue les performances de sécurité des Etats et de l’Aviation mondiale.
Le Directeur du Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (Bea Sénégal) a pris part à la cérémonie d’ouverture. Mamadou Gningue pense que notre système d’aviation civile sortira de cet audit ragaillardi. Un second audit sera organisé prochainement et consacré au domaine des Services de la navigation aérienne (Ans).
Adou Faye