Selon le présentateur, l’arachide occupe 63% de la population rurale, 482 000 exploitations agricoles, environ 4 millions de personnes. Dans le passé elle était une filière florissante qui positionnait le Sénégal parmi les top10.
L’arachide est comme un sphinx qui renait toujours de ses cendres comme dirait Mr Diallo. Depuis le lendemain de l’indépendance, les différentes autorités du pays ont chaque fois préconisé des politiques pour se passer de l’arachide á terme mais on revient toujours à reconsidérer cela. Aujourd’hui, l’ouverture du marché chinois imprime un nouveau dynamisme á cette spéculation. Ainsi depuis 2013, on note des évolutions sur la gestion de la filière: une reconstitution du capital semencier sélectionné, une augmentation continue de la production de 600 000 tonnes á un million.
Toutefois, le secteur a besoin de réformes. En effet, le choc de l’ouverture du marché aux acheteurs étrangers a constitué le catalyseur de la filière. Pour Youssoupha Diallo, il est urgent d’augmenter les rendements de la culture qui nécessitera une politique vigoureuse d’engrais, l’amélioration de l’itinéraire technique, la résilience au choc climatique, entre autres.
D’après les intervenants, même si tout n’est pas rose, l’arachide a de beaux jours encore et il faudra inciter les jeunes aux activités de la filière; quant aux producteurs la situation s’est améliorée. Il n’existe plus de bons, le prix est correct mais souvent même il n’est pas respecté par les acteurs et on observe des variations sur le marché.
Pathé TOURE
L’arachide est comme un sphinx qui renait toujours de ses cendres comme dirait Mr Diallo. Depuis le lendemain de l’indépendance, les différentes autorités du pays ont chaque fois préconisé des politiques pour se passer de l’arachide á terme mais on revient toujours à reconsidérer cela. Aujourd’hui, l’ouverture du marché chinois imprime un nouveau dynamisme á cette spéculation. Ainsi depuis 2013, on note des évolutions sur la gestion de la filière: une reconstitution du capital semencier sélectionné, une augmentation continue de la production de 600 000 tonnes á un million.
Toutefois, le secteur a besoin de réformes. En effet, le choc de l’ouverture du marché aux acheteurs étrangers a constitué le catalyseur de la filière. Pour Youssoupha Diallo, il est urgent d’augmenter les rendements de la culture qui nécessitera une politique vigoureuse d’engrais, l’amélioration de l’itinéraire technique, la résilience au choc climatique, entre autres.
D’après les intervenants, même si tout n’est pas rose, l’arachide a de beaux jours encore et il faudra inciter les jeunes aux activités de la filière; quant aux producteurs la situation s’est améliorée. Il n’existe plus de bons, le prix est correct mais souvent même il n’est pas respecté par les acteurs et on observe des variations sur le marché.
Pathé TOURE