L’annonce a été faite par le ministre du budget, qui présidait, le jeudi 11 janvier à Dakar, un atelier de lancement de la gestion budgétaire 2018.
M. Birima Mangara assure que cette gestion sera basée entre autres, sur la poursuite de l’assainissement des finances publiques avec l’accroissement des recettes budgétaires, la maîtrise des dépenses de fonctionnement et l’amélioration de la qualité des dépenses d’investissement.
A l’en croire cette maîtrise a permis de réaliser en 2017 une croissance de qualité de l’ordre de 6,8% et de projeter, en 2018, une croissance à hauteur de 7%.
Il y ajoute une réduction du déficit budgétaire à hauteur de 3,5% en 2017, conformément aux engagements pris avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre l’ISPE.
Pour lui, ces résultats sont le fruit d’une bonne collaboration de toutes les parties prenantes au rang desquelles, les services dépensiers de l’Etat.
Par ailleurs, il a fait remarquer que le démarrage effectif de l’exécution du budget de l’année 2018, s’inscrit toujours dans un contexte de redressement économique et budgétaire, sans précédent, découlant de la mise en œuvre des orientations stratégiques du Plan Sénégal Emergent (PSE), lequel demeure le cadre de programmation, par excellence, de la politique économique et sociale de l’Etat.
A son avis, il convient d’apporter des solutions urgentes aux écueils de la gestion budgétaire, conformément aux exigences de célérité, d’efficacité et d’efficience qui commandent les nouvelles règles de gestion budgétaire.
Mariama Diallo
M. Birima Mangara assure que cette gestion sera basée entre autres, sur la poursuite de l’assainissement des finances publiques avec l’accroissement des recettes budgétaires, la maîtrise des dépenses de fonctionnement et l’amélioration de la qualité des dépenses d’investissement.
A l’en croire cette maîtrise a permis de réaliser en 2017 une croissance de qualité de l’ordre de 6,8% et de projeter, en 2018, une croissance à hauteur de 7%.
Il y ajoute une réduction du déficit budgétaire à hauteur de 3,5% en 2017, conformément aux engagements pris avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre l’ISPE.
Pour lui, ces résultats sont le fruit d’une bonne collaboration de toutes les parties prenantes au rang desquelles, les services dépensiers de l’Etat.
Par ailleurs, il a fait remarquer que le démarrage effectif de l’exécution du budget de l’année 2018, s’inscrit toujours dans un contexte de redressement économique et budgétaire, sans précédent, découlant de la mise en œuvre des orientations stratégiques du Plan Sénégal Emergent (PSE), lequel demeure le cadre de programmation, par excellence, de la politique économique et sociale de l’Etat.
A son avis, il convient d’apporter des solutions urgentes aux écueils de la gestion budgétaire, conformément aux exigences de célérité, d’efficacité et d’efficience qui commandent les nouvelles règles de gestion budgétaire.
Mariama Diallo