Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee) , la progression des recettes budgétaires est portée par les recettes fiscales (2419 milliards) qui se sont accrues de 22,5% grâce aux impôts directs et indirects.
Au titre de la fiscalité directe, les recouvrements sont tirés par l’impôt sur le revenu (423,2 milliards) et l’impôt sur les sociétés (225,4 milliards) avec des hausses respectives de 15,4% et 18,6%. Les impôts indirects sont, pour leur part, soutenus par les taxes spécifiques (218,8 milliards), les droits de porte (324,7 milliards), la TVA à l’import (477,4 milliards) et la TVA intérieure hors pétrole (356,3 milliards) qui se sont respectivement consolidés de 45,6%, 12,4%, 18,1% et 17,5%.
Concernant les taxes spécifiques, leur progression de résulte, en partie, du rapatriement de la taxe d’usage de la route (TUR). En somme, le rapatriement des taxes parafiscales, notamment, la TUR, le PSE et le COSEC a globalement contribué à hauteur de 184,16 milliards au recouvrement.
Oumar Nourou
Au titre de la fiscalité directe, les recouvrements sont tirés par l’impôt sur le revenu (423,2 milliards) et l’impôt sur les sociétés (225,4 milliards) avec des hausses respectives de 15,4% et 18,6%. Les impôts indirects sont, pour leur part, soutenus par les taxes spécifiques (218,8 milliards), les droits de porte (324,7 milliards), la TVA à l’import (477,4 milliards) et la TVA intérieure hors pétrole (356,3 milliards) qui se sont respectivement consolidés de 45,6%, 12,4%, 18,1% et 17,5%.
Concernant les taxes spécifiques, leur progression de résulte, en partie, du rapatriement de la taxe d’usage de la route (TUR). En somme, le rapatriement des taxes parafiscales, notamment, la TUR, le PSE et le COSEC a globalement contribué à hauteur de 184,16 milliards au recouvrement.
Oumar Nourou