
Selon les dirigeants de la société ivoirienne basée à Abidjan, le premier semestre 2018 a été marqué par la reconquête de leur part de marché perdue pendant les deux dernières années, suite à la forte perturbation du marché de cigarettes.
« Nous avons retrouvé notre position de leader avec un accroissement de près de 35% de nos volumes par rapport au 1er semestre 2017. »
Le Chiffre d’affaires progresse de 18%. Cette évolution, en retrait par rapport aux volumes, est due à la réforme fiscale de 2018 sur le traitement de la TVA sur le Tabac.
La marge brute s’est fortement détériorée du fait de l’augmentation du prix des intrants et de l’augmentation de la fiscalité.
Par contre, les frais généraux restent bien maitrisés. Il est à noter toutefois la constitution d’une provision sur titres d’une des filiales à hauteur de 800 millions de FCFA, une provision qui n’avait pas été intégrée dans les comptes intermédiaires de juin 2017.
L’impact combiné de ses effets fait apparaitre un résultat d’exploitation négatif de 1,6 milliards de FCFA.
Le second semestre est placé sous le double signe de la consolidation de notre position de leader du marché en termes de volumétrique d’une part et d’autre part, à la recherche de l’amélioration de la rentabilité de l’activité.
Un certain nombre de disposition a été pris dans ce sens selon la direction générale de la SIATB et les effets positifs de ces actions se feront sentir au cours du dernier trimestre 2018.
En perspective, malgré la période difficile que traverse la société au niveau de sa rentabilité, les dirigeants demeurent confiants sur l’impact positif des actions entreprises au cours de cet exercice dans l’amélioration des indicateurs financiers.
Adou FAYE
« Nous avons retrouvé notre position de leader avec un accroissement de près de 35% de nos volumes par rapport au 1er semestre 2017. »
Le Chiffre d’affaires progresse de 18%. Cette évolution, en retrait par rapport aux volumes, est due à la réforme fiscale de 2018 sur le traitement de la TVA sur le Tabac.
La marge brute s’est fortement détériorée du fait de l’augmentation du prix des intrants et de l’augmentation de la fiscalité.
Par contre, les frais généraux restent bien maitrisés. Il est à noter toutefois la constitution d’une provision sur titres d’une des filiales à hauteur de 800 millions de FCFA, une provision qui n’avait pas été intégrée dans les comptes intermédiaires de juin 2017.
L’impact combiné de ses effets fait apparaitre un résultat d’exploitation négatif de 1,6 milliards de FCFA.
Le second semestre est placé sous le double signe de la consolidation de notre position de leader du marché en termes de volumétrique d’une part et d’autre part, à la recherche de l’amélioration de la rentabilité de l’activité.
Un certain nombre de disposition a été pris dans ce sens selon la direction générale de la SIATB et les effets positifs de ces actions se feront sentir au cours du dernier trimestre 2018.
En perspective, malgré la période difficile que traverse la société au niveau de sa rentabilité, les dirigeants demeurent confiants sur l’impact positif des actions entreprises au cours de cet exercice dans l’amélioration des indicateurs financiers.
Adou FAYE