chroniques
"Il y a une vingtaine d’années, en Ethiopie, les télévisions du monde entier montraient des images de femmes, d’enfants et d’hommes affamés. Aujourd’hui, ce pays de la Corne de l’Afrique est devenu la troisième puissance agricole du continent. Il est en passe d’assurer sa sécurité alimentaire", a expliqué M. Mboup lors d’une réunion du Conseil ouest et centre-africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF).
"Le défi est certes immense, mais il est à notre portée. En innovant dans les méthodes culturales, avec la recherche (…) l’Afrique peut, dans un très proche avenir, assurer sa sécurité alimentaire", a-t-il assuré.
Le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS), lancé en février dernier, est de nature à garantir la sécurité alimentaire au Sénégal, selon M. Mboup.
"C’est un programme ambitieux, d’un coût de 74 milliards de francs CFA, qui a été validé par nos bailleurs de fonds au mois de février 2014, à Paris. Il nous permettra, d’ici à 2017, d’avoir des quantités importantes de production de riz, d’arachide, d’oignon, de fruits et légumes", a souligné le fonctionnaire sénégalais.
APS
"Le défi est certes immense, mais il est à notre portée. En innovant dans les méthodes culturales, avec la recherche (…) l’Afrique peut, dans un très proche avenir, assurer sa sécurité alimentaire", a-t-il assuré.
Le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS), lancé en février dernier, est de nature à garantir la sécurité alimentaire au Sénégal, selon M. Mboup.
"C’est un programme ambitieux, d’un coût de 74 milliards de francs CFA, qui a été validé par nos bailleurs de fonds au mois de février 2014, à Paris. Il nous permettra, d’ici à 2017, d’avoir des quantités importantes de production de riz, d’arachide, d’oignon, de fruits et légumes", a souligné le fonctionnaire sénégalais.
APS
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