Recevant les autorités chargées du pilotage et du passage de l’analogie au numérique, le chef de l’Etat sénégalais n’a pas caché sa satisfaction de voir la mission aboutie même s’il reste quelques détail ç régler çà et là. Il a rappelé que le Comité national de pilotage avait été installé il y’a seulement 18 mois, et avait comme «mission de conduire le processus de mise en œuvre des accords dits du GE06, auxquels nous avions souscrits, et qui nous engageaient à procéder au passage de notre pays à la télévision numérique au 17 juin 2015 ».
Au finish, des résultats probants ont été obtenus : «Le Sénégal est effectivement parvenu à assurer le passage à la télévision numérique. Dès ce soir, nous allons procéder au basculement région par région, avec une première zone qui couvre plus de 60 % de la population, qui sera suivie aussitôt de la couverture intégrale du territoire national », a dit le chef de l’Etat. Ce qui correspond à ses yeux, à la deuxième dimension du PSE, qui prône la réduction des inégalités sociales et la redistribution équitable des fruits de la croissance.
Ce passage au numérique va nécessiter l’utilisation de décodeurs. Il faut relever que d’ores et déjà des milliers de décodeurs sont distribués à divers leaders d’opinion, et à des citoyens de toutes conditions dans les régions de Dakar, Thiès, Diourbel, Kaolack, pour les tests d’usage. De même, ces décodeurs ont été fortement subventionnés par l’Etat, car vendus à 10.000 francs l’unité alors que leur prix normal d’acquisition est de 40.000 francs en moyenne.
Le Sénégal, en réussissant le pari du passage au numérique dans les délais, a suscité la fierté et l’admiration du Chef de l’Etat : «J’ai fait confiance à l’expertise nationale sénégalaise, pour la conception et la mise en œuvre de bout en bout », souligne le Chef de l’Etat. Ce qui nous vaut aujourd’hui, d’être le «seul Etat africain francophone qui a été en mesure de respecter les engagements pris en 2006 à Genève. « C’est une prouesse qui fait notre fierté», a dit le Président.
Pour le chef de l’Etat, le passage réussi de l’analogique au numérique constitue un modèle achevé de Partenariat Public Privé. Ainsi, pour le Chef de l’Etat, « Le modèle est unique car l’Etat du Sénégal n’a contracté aucune dette pour disposer d’une infrastructure moderne sur la base d’un investissement privé à hauteur de 39 Milliards consentis par des investisseurs nationaux.
«La société Excaf a gagé son retour sur investissement sur l’octroi par l’Etat de deux fréquences pour commercialiser son bouquet. En ces circonstances, j’ai un sentiment de fierté et d’accomplissement. Le génie sénégalais est passé par là, en ce qu’il fait de meilleur. C’est pourquoi, j’ai une pensée pieuse pour Monsieur Ibrahima Ben Bass Diagne, le visionnaire fondateur du Groupe Excaf trop tôt arraché à notre affection», a soutenu Macky Sall.
Pathé TOURE
Au finish, des résultats probants ont été obtenus : «Le Sénégal est effectivement parvenu à assurer le passage à la télévision numérique. Dès ce soir, nous allons procéder au basculement région par région, avec une première zone qui couvre plus de 60 % de la population, qui sera suivie aussitôt de la couverture intégrale du territoire national », a dit le chef de l’Etat. Ce qui correspond à ses yeux, à la deuxième dimension du PSE, qui prône la réduction des inégalités sociales et la redistribution équitable des fruits de la croissance.
Ce passage au numérique va nécessiter l’utilisation de décodeurs. Il faut relever que d’ores et déjà des milliers de décodeurs sont distribués à divers leaders d’opinion, et à des citoyens de toutes conditions dans les régions de Dakar, Thiès, Diourbel, Kaolack, pour les tests d’usage. De même, ces décodeurs ont été fortement subventionnés par l’Etat, car vendus à 10.000 francs l’unité alors que leur prix normal d’acquisition est de 40.000 francs en moyenne.
Le Sénégal, en réussissant le pari du passage au numérique dans les délais, a suscité la fierté et l’admiration du Chef de l’Etat : «J’ai fait confiance à l’expertise nationale sénégalaise, pour la conception et la mise en œuvre de bout en bout », souligne le Chef de l’Etat. Ce qui nous vaut aujourd’hui, d’être le «seul Etat africain francophone qui a été en mesure de respecter les engagements pris en 2006 à Genève. « C’est une prouesse qui fait notre fierté», a dit le Président.
Pour le chef de l’Etat, le passage réussi de l’analogique au numérique constitue un modèle achevé de Partenariat Public Privé. Ainsi, pour le Chef de l’Etat, « Le modèle est unique car l’Etat du Sénégal n’a contracté aucune dette pour disposer d’une infrastructure moderne sur la base d’un investissement privé à hauteur de 39 Milliards consentis par des investisseurs nationaux.
«La société Excaf a gagé son retour sur investissement sur l’octroi par l’Etat de deux fréquences pour commercialiser son bouquet. En ces circonstances, j’ai un sentiment de fierté et d’accomplissement. Le génie sénégalais est passé par là, en ce qu’il fait de meilleur. C’est pourquoi, j’ai une pensée pieuse pour Monsieur Ibrahima Ben Bass Diagne, le visionnaire fondateur du Groupe Excaf trop tôt arraché à notre affection», a soutenu Macky Sall.
Pathé TOURE