« Je veux rassurer les Sénégalais et leur dire que le Sénégal continue à être ce pays qui présente énormément d’intérêt pour les investisseurs de tous ordres, d’abord pour les investisseurs nationaux qui, évidemment, nourrissent le même sens patriotique que nous tous mais également les investisseurs internationaux », a affirmé M. Sonko.
Selon lui, le Sénégal est attrayant de par sa position géographique, sa stabilité politique, la sécurité dans tout son espace et sa démographie qui doit être transformée en dividende et non pas en risque ou en charge. C’est pourquoi, il demande la formation des jeunes ainsi que la bonne gouvernance qui permet de replacer les citoyens au cœur des préoccupations de l’action publique, mais également au cœur de l'action du secteur privé.
« C’est pourquoi l’option qui a été retenue, ce n’est pas de continuer à insister sur nos atouts, c’est également de lever les derniers risques ou facteurs de risque », a expliqué le chef du gouvernement. Pour Ousmane Sonko, le climat des affaires est déjà très bon mais il doit évoluer.
« C’est pourquoi nous allons nous-mêmes superviser toutes les réformes : celle du Code des impôts, du Code des douanes et la réforme foncière qui me semble être l’une des plus importantes et dont on parle très peu », a confié le Premier ministre.
Adou FAYE
Selon lui, le Sénégal est attrayant de par sa position géographique, sa stabilité politique, la sécurité dans tout son espace et sa démographie qui doit être transformée en dividende et non pas en risque ou en charge. C’est pourquoi, il demande la formation des jeunes ainsi que la bonne gouvernance qui permet de replacer les citoyens au cœur des préoccupations de l’action publique, mais également au cœur de l'action du secteur privé.
« C’est pourquoi l’option qui a été retenue, ce n’est pas de continuer à insister sur nos atouts, c’est également de lever les derniers risques ou facteurs de risque », a expliqué le chef du gouvernement. Pour Ousmane Sonko, le climat des affaires est déjà très bon mais il doit évoluer.
« C’est pourquoi nous allons nous-mêmes superviser toutes les réformes : celle du Code des impôts, du Code des douanes et la réforme foncière qui me semble être l’une des plus importantes et dont on parle très peu », a confié le Premier ministre.
Adou FAYE