En 2013, souligne le rapport, sur les 40 pays sur lesquels des données étaient disponibles (22,5 %), neuf avaient atteint la cible et 19 autres s’en approchaient (avec un taux de scolarisation annuel net situé entre 80 et 94 %). Six pays (le Burkina Faso, la Guinée, la Tanzanie, le Mozambique, le Tchad et le Niger) ont amélioré leur taux net de scolarisation de plus de 30 points de pourcentage.
À l’exception du Maroc, où le taux net de scolarisation est passé de 55,3 % en 1990 et 75,6 % en 2000 à 98,5 % en 2013, les pays d’Afrique du Nord ont enregistré des progrès allant de marginal à modéré. Des progrès en matière de scolarisation au niveau primaire ont été accomplis grâce à des investissements publics importants, à la mise en œuvre de cadres politiques promouvant l’accès aux possibilités d’éducation, notamment pour les filles et les enfants défavorisés, et à la mobilisation de la société civile et de la communauté internationale des donateurs. Les investissements dans les infrastructures routières qui mènent aux écoles ont particulièrement contribué à améliorer l’accès à l’éducation en réduisant les distances jusqu’aux écoles.
En ce qui concerne la demande, les bourses d’études pour les filles, l’abolition des frais de scolarité, les transferts en espèces aux ménages pauvres et les réformes des programmes pour faire face aux besoins spécifiques des communautés particulières ont largement contribué à cet accès accru à l’éducation.
Pathé TOURE
À l’exception du Maroc, où le taux net de scolarisation est passé de 55,3 % en 1990 et 75,6 % en 2000 à 98,5 % en 2013, les pays d’Afrique du Nord ont enregistré des progrès allant de marginal à modéré. Des progrès en matière de scolarisation au niveau primaire ont été accomplis grâce à des investissements publics importants, à la mise en œuvre de cadres politiques promouvant l’accès aux possibilités d’éducation, notamment pour les filles et les enfants défavorisés, et à la mobilisation de la société civile et de la communauté internationale des donateurs. Les investissements dans les infrastructures routières qui mènent aux écoles ont particulièrement contribué à améliorer l’accès à l’éducation en réduisant les distances jusqu’aux écoles.
En ce qui concerne la demande, les bourses d’études pour les filles, l’abolition des frais de scolarité, les transferts en espèces aux ménages pauvres et les réformes des programmes pour faire face aux besoins spécifiques des communautés particulières ont largement contribué à cet accès accru à l’éducation.
Pathé TOURE