«Comme vous l’aurez remarqué, nos Autorités ont placé le financement des infrastructures comme voie de l’émergence de nos Etats. A ce titre, il figure au cœur de leurs Programmes Nationaux de Développement.
A cet effet, le recours aux marchés financiers apparait non seulement comme une solution mais clairement une évidence. Pour preuve, en ce qui concerne le marché financier de l’Umoa, 37% des ressources mobilisées, ont servi à financer les infrastructures », a déclaré M. Ndiaye.
«La contribution des marchés de capitaux n’est plus donc à démontrer mais devrait constituer, j’ose l’espérer, un effet amplificateur avec cette intégration attendue pour une croissance économique plus durable », a-t-il ajouté. Aussi, l’évolution des réalités socioéconomiques et les risques liés au système financier commandent de trouver des alternatives plus efficaces de diversification des instruments de financement pour atteindre et maintenir une croissance économique plus saine et plus durable. «Je veux dans cette optique saluer et encourager l’utilisation des instruments de la finance islamique, ainsi que les obligations vertes, sociales et durables qui sont innovateurs et à enjeux importants pour le financement des infrastructures », a ajouté le président du Crepmf.
A titre d’exemple, poursuit-il, les produits comme les Sukuks ont montré leurs performances dans le financement alternatif des infrastructures en Afrique de l’Ouest. Des Etats comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Mali en ont fait recours récemment pour ce qui concerne
notre zone.
Adou FAYE
A cet effet, le recours aux marchés financiers apparait non seulement comme une solution mais clairement une évidence. Pour preuve, en ce qui concerne le marché financier de l’Umoa, 37% des ressources mobilisées, ont servi à financer les infrastructures », a déclaré M. Ndiaye.
«La contribution des marchés de capitaux n’est plus donc à démontrer mais devrait constituer, j’ose l’espérer, un effet amplificateur avec cette intégration attendue pour une croissance économique plus durable », a-t-il ajouté. Aussi, l’évolution des réalités socioéconomiques et les risques liés au système financier commandent de trouver des alternatives plus efficaces de diversification des instruments de financement pour atteindre et maintenir une croissance économique plus saine et plus durable. «Je veux dans cette optique saluer et encourager l’utilisation des instruments de la finance islamique, ainsi que les obligations vertes, sociales et durables qui sont innovateurs et à enjeux importants pour le financement des infrastructures », a ajouté le président du Crepmf.
A titre d’exemple, poursuit-il, les produits comme les Sukuks ont montré leurs performances dans le financement alternatif des infrastructures en Afrique de l’Ouest. Des Etats comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Mali en ont fait recours récemment pour ce qui concerne
notre zone.
Adou FAYE