
La Banque africaine de développement est la « Meilleure institution financière multilatérale du monde pour 2021 ». C’est le résultat issu de la sélection faite par le magazine américain Global Finance, spécialisé dans les marchés financiers et la banque d’investissement.
A travers un communiqué de presse, la Bad soutient que ce prix est une reconnaissance mondiale des efforts constants qu’elle a déployés pour devenir une banque de solutions pour l’Afrique à travers une combinaison d’opérations, prestations de connaissance et choix d’investissement appuyant l’accélération du développement du continent.
« Alors qu’on s’attend en général à des fusions dans de nombreux secteurs partout dans le monde, les banques d’investissement joueront un rôle de premier plan dans la refonte de l’économie mondiale après la pandémie », a déclaré Joseph D. Giarraputo, éditeur et directeur éditorial de Global Finance, à l’annonce de la liste des lauréats le 18 février dernier.
« Les entreprises ont plus que jamais besoin de comprendre les spécialités et les savoir-faire qu’apportent les banques d’investissement », a-t-il ajouté avant de rappeler que les prix remis par Global Finance sont pour cela un guide précieux.
En 2020, rappelle le communiqué, la Banque africaine de développement a été largement saluée pour avoir su répondre avec rapidité aux besoins du continent africain face à la pandémie de Covid-19 et pour le rôle précurseur qu’elle a joué en termes de cohésion sociale.
En outre, poursuit-on, elle a été amplement reconnue pour la réorientation rapide de son programme de prêts en 2020 et pour la mise en place d’un appui budgétaire face à la crise, grâce à un processus d’approbation accéléré et à des décaissements rapides destinés à apporter aux pays une marge de manœuvre budgétaire appropriée.
Cela, selon le document, leur a permis de réagir de toute urgence face aux impacts économiques les plus graves de la crise sanitaire et leur a facilité l’achat de produits d’importation et de fournitures médicales vitales indispensables pour la lutte contre le virus.
A l’en croire, la Banque a également axé ses efforts sur la collaboration et les partenariats en vue d’optimiser sa réponse à la crise par un travail commun avec des partenaires de développement majeurs, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Et « malgré les problèmes affectant son portefeuille, elle a pu maintenir des pratiques de gestion des risques très robustes », conclut le texte.
Bassirou MBAYE
A travers un communiqué de presse, la Bad soutient que ce prix est une reconnaissance mondiale des efforts constants qu’elle a déployés pour devenir une banque de solutions pour l’Afrique à travers une combinaison d’opérations, prestations de connaissance et choix d’investissement appuyant l’accélération du développement du continent.
« Alors qu’on s’attend en général à des fusions dans de nombreux secteurs partout dans le monde, les banques d’investissement joueront un rôle de premier plan dans la refonte de l’économie mondiale après la pandémie », a déclaré Joseph D. Giarraputo, éditeur et directeur éditorial de Global Finance, à l’annonce de la liste des lauréats le 18 février dernier.
« Les entreprises ont plus que jamais besoin de comprendre les spécialités et les savoir-faire qu’apportent les banques d’investissement », a-t-il ajouté avant de rappeler que les prix remis par Global Finance sont pour cela un guide précieux.
En 2020, rappelle le communiqué, la Banque africaine de développement a été largement saluée pour avoir su répondre avec rapidité aux besoins du continent africain face à la pandémie de Covid-19 et pour le rôle précurseur qu’elle a joué en termes de cohésion sociale.
En outre, poursuit-on, elle a été amplement reconnue pour la réorientation rapide de son programme de prêts en 2020 et pour la mise en place d’un appui budgétaire face à la crise, grâce à un processus d’approbation accéléré et à des décaissements rapides destinés à apporter aux pays une marge de manœuvre budgétaire appropriée.
Cela, selon le document, leur a permis de réagir de toute urgence face aux impacts économiques les plus graves de la crise sanitaire et leur a facilité l’achat de produits d’importation et de fournitures médicales vitales indispensables pour la lutte contre le virus.
A l’en croire, la Banque a également axé ses efforts sur la collaboration et les partenariats en vue d’optimiser sa réponse à la crise par un travail commun avec des partenaires de développement majeurs, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Et « malgré les problèmes affectant son portefeuille, elle a pu maintenir des pratiques de gestion des risques très robustes », conclut le texte.
Bassirou MBAYE