Selon le communiqué, l’inscription dans les réseaux est ouverte aux journalistes de la presse écrite, de la radio, et de la télévision ainsi qu’à ceux des publications en ligne et aux blogueurs bénéficiant d’une audience vérifiable et significative. Les journalistes des médias traditionnels devront être désignés par leurs rédacteurs en chef et les candidats seront acceptés par ordre d’arrivée en fonction des places disponibles.
La même source indique que le projet Réseaux de journalistes fait partie du programme Services médiatiques d’AMI et comprendra d’une part une série d’ateliers régionaux de formation, de supervision du rendement de chaque réseau en termes de qualité, de profondeur et de volume d’articles, d’accès aux leaders du secteur, et d’autre part un réseau continental d’échange de pratiques en ligne et des prix annuels pour récompenser l’excellence au sein des réseaux.
Le recrutement commencera bientôt pour les réseaux sur le changement climatique, la conservation et l’environnement, et pour les télécommunications et les TIC. Ces secteurs seront peu après suivis par les affaires et la finance, la paix et la sécurité, l’agriculture, l’énergie et l’économie maritime. Les discussions se poursuivent avec les partenaires stratégiques de chacun de ces secteurs et détermineront la date de début des formations et de constitution des Réseaux.
Le PDG d’AMI, M. Eric Chinje, a déclaré depuis Nairobi : « nous développons ces réseaux de journalistes spécialisés dans le but d’améliorer la qualité et la quantité de couverture médiatique du développement sur le continent qui se situe actuellement à un minable 10 %, soit le taux le plus bas de toutes les régions du monde. Je pense aussi qu’une meilleure couverture par secteur ouvrira de nouvelles opportunités de recettes publicitaires pour les organes de presse. C’est du gagnant-gagnant pour toutes les parties impliquées. »
Le programme de formation pour chaque secteur est en cours d’élaboration avec l’appui des experts des différentes industries et des universitaires. Il permettra d’améliorer la compréhension des journalistes sur le fonctionnement de ces industries, augmentera leur connaissance des principaux enjeux et défis que rencontrent les secteurs, et leur permettra de mieux informer le public sur les sujets qui touchent à la qualité de la vie et l’évolution du développement sur le continent.
Les prix ZIMEO – qui récompensant en fin d’année l’excellence dans les reportages – feront partie des nombreux incitatifs pour s’assurer que les médias jouent un rôle majeur dans l’enrichissement des débats politiques, économiques et sociaux en Afrique.
Les candidatures sont actuellement acceptées pour les secteurs de télécommunications aux adresses : http://goo.gl/sClUJg
Kine SEYE
La même source indique que le projet Réseaux de journalistes fait partie du programme Services médiatiques d’AMI et comprendra d’une part une série d’ateliers régionaux de formation, de supervision du rendement de chaque réseau en termes de qualité, de profondeur et de volume d’articles, d’accès aux leaders du secteur, et d’autre part un réseau continental d’échange de pratiques en ligne et des prix annuels pour récompenser l’excellence au sein des réseaux.
Le recrutement commencera bientôt pour les réseaux sur le changement climatique, la conservation et l’environnement, et pour les télécommunications et les TIC. Ces secteurs seront peu après suivis par les affaires et la finance, la paix et la sécurité, l’agriculture, l’énergie et l’économie maritime. Les discussions se poursuivent avec les partenaires stratégiques de chacun de ces secteurs et détermineront la date de début des formations et de constitution des Réseaux.
Le PDG d’AMI, M. Eric Chinje, a déclaré depuis Nairobi : « nous développons ces réseaux de journalistes spécialisés dans le but d’améliorer la qualité et la quantité de couverture médiatique du développement sur le continent qui se situe actuellement à un minable 10 %, soit le taux le plus bas de toutes les régions du monde. Je pense aussi qu’une meilleure couverture par secteur ouvrira de nouvelles opportunités de recettes publicitaires pour les organes de presse. C’est du gagnant-gagnant pour toutes les parties impliquées. »
Le programme de formation pour chaque secteur est en cours d’élaboration avec l’appui des experts des différentes industries et des universitaires. Il permettra d’améliorer la compréhension des journalistes sur le fonctionnement de ces industries, augmentera leur connaissance des principaux enjeux et défis que rencontrent les secteurs, et leur permettra de mieux informer le public sur les sujets qui touchent à la qualité de la vie et l’évolution du développement sur le continent.
Les prix ZIMEO – qui récompensant en fin d’année l’excellence dans les reportages – feront partie des nombreux incitatifs pour s’assurer que les médias jouent un rôle majeur dans l’enrichissement des débats politiques, économiques et sociaux en Afrique.
Les candidatures sont actuellement acceptées pour les secteurs de télécommunications aux adresses : http://goo.gl/sClUJg
Kine SEYE