L’édition 2018 de la Foire internationale de Dakar (Fidak) est prévue du 29 novembre au 16 décembre prochain. Le thème portera sur « la compétitivité des Petites et moyennes entreprises (Pme) des pays en développement, face aux défis de la mondialisation ». Pour cette 27ème édition, Cheikh Ndiaye, directeur général du Cices souligne qu’elle sera placée sous le signe de la professionnalisation. Lors d’une rencontre hier, il a indiqué que la Fidak, outre le fait qu’elle constitue un lieu privilégié de rencontres et d’échanges, entre commerçants, industriels et hommes d’affaires de tous les continents, et de tous les secteurs d’activités, elle permet également de découvrir les différentes potentialités économiques, culturelles et touristiques des pays participants.
Il a ajouté que pour cette édition, les efforts seront axés sur une plus grande professionnalisation de l’organisation, notamment par une meilleure gestion des espaces d’exposition; un encadrement renforcé de la participation du secteur dit «informel»; une animation scientifique de qualité; un renforcement de l’ouverture de la participation des médias pour une plus grande vulgarisation de la manifestation; une animation culturelle plus attractive; et l’organisation de consultations ophtalmologiques gratuites accompagnées de don de lunettes de vue à des prix symboliques.
Revenant sur le thème, M. Ndiaye, de dire que son choix est, encore une fois, motivé par le souci permanent de créer, en marge de l’exposition, un cadre de réflexion pour toujours être en phase avec notre slogan «la Fidak, un outil d’intégration».
Prenant la parole, Augustin Faye, directeur de cabinet du ministre du Commerce, a rappelé que c’est par souci de renforcer le processus de développement des échanges entre le Sénégal et ses partenaires extérieurs, que l’Etat du Sénégal avait pris la pertinente décision de créer, en 1974, ce cadre privilégié de promotion, de contacts et d’échanges commerciaux.
Aujourd’hui, note M. Faye, après plus de quarante années d’existence, la Fidak est devenue l’un des plus grands rendez-vous économiques de l’Afrique, en général, et de la sous-région ouest africaine, en particulier.
Selon lui, les objectifs de la Fidak sont en parfaite synergie avec les préoccupations du Gouvernement, à savoir favoriser une meilleure connaissance des marchés et des produits et services, accroître les échanges commerciaux entre le Sénégal et le reste du monde en développant un cadre de promotion commercial adapté, promouvoir l’établissement de courants d’investissements, et faciliter le développement des relations d’affaires entre entreprises publiques et privées issues de différents secteurs d’activités.
Adou Faye
Il a ajouté que pour cette édition, les efforts seront axés sur une plus grande professionnalisation de l’organisation, notamment par une meilleure gestion des espaces d’exposition; un encadrement renforcé de la participation du secteur dit «informel»; une animation scientifique de qualité; un renforcement de l’ouverture de la participation des médias pour une plus grande vulgarisation de la manifestation; une animation culturelle plus attractive; et l’organisation de consultations ophtalmologiques gratuites accompagnées de don de lunettes de vue à des prix symboliques.
Revenant sur le thème, M. Ndiaye, de dire que son choix est, encore une fois, motivé par le souci permanent de créer, en marge de l’exposition, un cadre de réflexion pour toujours être en phase avec notre slogan «la Fidak, un outil d’intégration».
Prenant la parole, Augustin Faye, directeur de cabinet du ministre du Commerce, a rappelé que c’est par souci de renforcer le processus de développement des échanges entre le Sénégal et ses partenaires extérieurs, que l’Etat du Sénégal avait pris la pertinente décision de créer, en 1974, ce cadre privilégié de promotion, de contacts et d’échanges commerciaux.
Aujourd’hui, note M. Faye, après plus de quarante années d’existence, la Fidak est devenue l’un des plus grands rendez-vous économiques de l’Afrique, en général, et de la sous-région ouest africaine, en particulier.
Selon lui, les objectifs de la Fidak sont en parfaite synergie avec les préoccupations du Gouvernement, à savoir favoriser une meilleure connaissance des marchés et des produits et services, accroître les échanges commerciaux entre le Sénégal et le reste du monde en développant un cadre de promotion commercial adapté, promouvoir l’établissement de courants d’investissements, et faciliter le développement des relations d’affaires entre entreprises publiques et privées issues de différents secteurs d’activités.
Adou Faye