«Avec ces deux fonds, l’ambition est de mobiliser 400 millions d’euros pour le Fonds Infrastructures et 40 millions d’Euros pour le Fonds d’Amorçage, pour le financement des secteurs d’infrastructure clés, notamment l’énergie, les transports et les télécommunications. La Boad apporte une participation initiale de 12 milliards de francs CFA ( 18 millions d’euros) au Fonds d’Amorçage et de 26,2 milliards de francs CFA ( 40 millions d’euros) au Fonds d’Infrastructures. Les deux Fonds seront gérés par Cordiant, un gestionnaire d’actifs d’infrastructure présent depuis longtemps sur les marchés émergents. Dans le cadre de ce projet, Cordiant établira un bureau dans un pays de l’Union pour coordonner les activités d’investissement des deux fonds », lit-on dans le communiqué de presse .
Le président de la Boad Christian Adovelande, a indiqué à l’issue de la session du Conseil d’administration de la Boad du 18 décembre 2019 ayant approuvé les prises de participation de la Boad dans les deux fonds, « notre partenariat avec Cordiant représente une évolution importante dans les efforts de la Boad pour combler le déficit en infrastructures dans les pays l’Uemoa par des solutions innovantes permettant de renforcer la croissance économique dans les pays de l’Union ». Il avait ajouté que l’engagement de la Boad d’un apport initial de 38,2 milliards de FCFA (58 millions d’euros) en faveur de ces deux Fonds dédiés au financement privé des infrastructures est le plus important jamais contracté par l’institution depuis sa création.
Il a souligné la priorité que la Banque accorde au financement des infrastructures et nous espérons qu’il sera le catalyseur d’investissements privés significatifs en faveur des infrastructures dans les pays de l’Uemoa.
S’exprimant au nom de Cordiant, Jean-François Sauvé, Co-Pdg de Cordiant, a déclaré: « Nous sommes ravis que la Boad ait choisit de faire confiance à Cordiant pour gérer cette importante initiative de financement privé des infrastructures dans l’Uemoa.
De même, le vice-président de Cordiant, Obie McKenzie, a déclaré que les efforts de la Boad pour catalyser les investissements dans les infrastructures dans la région nécessiteront des efforts conjoints avec Cordiant pour promouvoir des solutions qui soutiennent le développement des marchés de capitaux régionaux et la mobilisation d’investisseurs privés et institutionnels, locaux et internationaux, dans les infrastructures dans l’union.
Adou FAYE
Le président de la Boad Christian Adovelande, a indiqué à l’issue de la session du Conseil d’administration de la Boad du 18 décembre 2019 ayant approuvé les prises de participation de la Boad dans les deux fonds, « notre partenariat avec Cordiant représente une évolution importante dans les efforts de la Boad pour combler le déficit en infrastructures dans les pays l’Uemoa par des solutions innovantes permettant de renforcer la croissance économique dans les pays de l’Union ». Il avait ajouté que l’engagement de la Boad d’un apport initial de 38,2 milliards de FCFA (58 millions d’euros) en faveur de ces deux Fonds dédiés au financement privé des infrastructures est le plus important jamais contracté par l’institution depuis sa création.
Il a souligné la priorité que la Banque accorde au financement des infrastructures et nous espérons qu’il sera le catalyseur d’investissements privés significatifs en faveur des infrastructures dans les pays de l’Uemoa.
S’exprimant au nom de Cordiant, Jean-François Sauvé, Co-Pdg de Cordiant, a déclaré: « Nous sommes ravis que la Boad ait choisit de faire confiance à Cordiant pour gérer cette importante initiative de financement privé des infrastructures dans l’Uemoa.
De même, le vice-président de Cordiant, Obie McKenzie, a déclaré que les efforts de la Boad pour catalyser les investissements dans les infrastructures dans la région nécessiteront des efforts conjoints avec Cordiant pour promouvoir des solutions qui soutiennent le développement des marchés de capitaux régionaux et la mobilisation d’investisseurs privés et institutionnels, locaux et internationaux, dans les infrastructures dans l’union.
Adou FAYE