Néanmoins, la majorité des industriels enquêtés ont déclaré une hausse de la production malgré un léger repli des carnets de commande. Par ailleurs, les stocks de produits finis se sont accrus sur la période.
Au total, comparativement à décembre 2017, le climat des affaires dans l’industrie s’est dé- gradé, en janvier 2018, selon les industriels, pour se situer en dessous de sa moyenne de long terme.
En perspectives pour le mois de février 2018, les carnets de commande et la production seraient respectivement au-dessus et en dessous de leurs moyennes de long terme.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (100%), la fiscalité (50%), la vétusté des équipements (38%), l’accès difficile au crédit (38%) et la concurrence supposée déloyale (38%) sont désignés par les entrepreneurs comme les principales entraves à l’activité, durant le mois de janvier 2018.
Toutefois, l’activité se serait renforcée, en variation mensuelle, malgré le dégonflement des carnets de commandes publiques et privées. En février 2018, l’activité ainsi que les commandes publiques et privées se renforceraient, comparativement à janvier 2018, mais resteraient en dessous de leurs moyennes respectives de long terme. Dans le sous-secteur des services, les prestataires ont désigné les difficultés de recouvrement des créances (43%), la concurrence supposée déloyale (38%) et la baisse de la demande (29%) comme principales entraves à l’environnement des affaires, en janvier 2018. Par ailleurs, la plupart des enquêtés ont révélé une baisse de l’activité, imputable aux contractions respectives des carnets de commande et des tarifs pratiqués.
Pathé TOURE
Au total, comparativement à décembre 2017, le climat des affaires dans l’industrie s’est dé- gradé, en janvier 2018, selon les industriels, pour se situer en dessous de sa moyenne de long terme.
En perspectives pour le mois de février 2018, les carnets de commande et la production seraient respectivement au-dessus et en dessous de leurs moyennes de long terme.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (100%), la fiscalité (50%), la vétusté des équipements (38%), l’accès difficile au crédit (38%) et la concurrence supposée déloyale (38%) sont désignés par les entrepreneurs comme les principales entraves à l’activité, durant le mois de janvier 2018.
Toutefois, l’activité se serait renforcée, en variation mensuelle, malgré le dégonflement des carnets de commandes publiques et privées. En février 2018, l’activité ainsi que les commandes publiques et privées se renforceraient, comparativement à janvier 2018, mais resteraient en dessous de leurs moyennes respectives de long terme. Dans le sous-secteur des services, les prestataires ont désigné les difficultés de recouvrement des créances (43%), la concurrence supposée déloyale (38%) et la baisse de la demande (29%) comme principales entraves à l’environnement des affaires, en janvier 2018. Par ailleurs, la plupart des enquêtés ont révélé une baisse de l’activité, imputable aux contractions respectives des carnets de commande et des tarifs pratiqués.
Pathé TOURE