
La majorité des industriels interrogés ont désigné l’insuffisance de la demande (38%), la concurrence jugée déloyale (31%), les difficultés de recouvrement des créances (22%) et la corruption et la fraude (16%) comme les principales contraintes à l’activité, durant le mois de septembre 2018. En rythme mensuel, l’indicateur de climat des affaires a perdu 7,2 points dans l’industrie, sous l’effet de la baisse des commandes et de la production ainsi que du niveau significatif des stocks de produits finis. En outre, les orientations défavorables des perspectives de production et d’emploi ont contribué à la dégradation du climat des affaires dans le sous-secteur.
Au niveau du sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (88%), la concurrence supposée déloyale (50%), la fiscalité (38%), l’accès difficile au crédit (38%) et au foncier (25%), l’insuffisance de la demande (25%) ainsi que la vétusté des équipements (25%) ont constitué les principales contraintes à l’activité, en septembre 2018, selon les interrogés. Par ailleurs, l’indice du climat des affaires dans les BTP a perdu de 1,8 point pour se situer en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation découle, particulièrement, de l’orientation négative des soldes d’opinion relatifs aux commandes privées et publiques.
Concernant les services, les difficultés de recouvrement des créances (50%), la concurrence supposée déloyale (44%) et la fiscalité (25%) sont citées, par les enquêtés, comme les principales entraves à l’activité, au mois de septembre 2018. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré de 1,5 point dans le sous-secteur, en rapport avec la bonne orientation des opinions relatives aux chiffres d’affaires, commandes et tarifs pratiqués. En anticipation pour le mois d’octobre, les interrogés s’attendent majoritairement à une progression de leurs chiffres d’affaires qui devraient être soutenus par l’augmentation des commandes.
Pour ce qui est du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (80%), la concurrence jugée déloyale (60%), l’insuffisance de la demande (40%), les difficultés d’approvisionnement (30%), la fiscalité (30%) les délestages d’électricité (30%) et l’accès difficile au crédit sont majoritairement cités par les interviewés comme étant les principaux facteurs qui limitent l’activité. Toutefois, l’indicateur du climat des affaires a gagné 4 points sur un mois, particulièrement tiré par l’opinion des commerçants sur leur chiffre d’affaires. En octobre 2018, il est globalement attendu un repli du chiffre d’affaires dans le sous-secteur du commerce, en dessous de sa moyenne de long terme.
Pathé TOURE
Au niveau du sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les difficultés de recouvrement des créances (88%), la concurrence supposée déloyale (50%), la fiscalité (38%), l’accès difficile au crédit (38%) et au foncier (25%), l’insuffisance de la demande (25%) ainsi que la vétusté des équipements (25%) ont constitué les principales contraintes à l’activité, en septembre 2018, selon les interrogés. Par ailleurs, l’indice du climat des affaires dans les BTP a perdu de 1,8 point pour se situer en dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation découle, particulièrement, de l’orientation négative des soldes d’opinion relatifs aux commandes privées et publiques.
Concernant les services, les difficultés de recouvrement des créances (50%), la concurrence supposée déloyale (44%) et la fiscalité (25%) sont citées, par les enquêtés, comme les principales entraves à l’activité, au mois de septembre 2018. Néanmoins, le climat des affaires s’est amélioré de 1,5 point dans le sous-secteur, en rapport avec la bonne orientation des opinions relatives aux chiffres d’affaires, commandes et tarifs pratiqués. En anticipation pour le mois d’octobre, les interrogés s’attendent majoritairement à une progression de leurs chiffres d’affaires qui devraient être soutenus par l’augmentation des commandes.
Pour ce qui est du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (80%), la concurrence jugée déloyale (60%), l’insuffisance de la demande (40%), les difficultés d’approvisionnement (30%), la fiscalité (30%) les délestages d’électricité (30%) et l’accès difficile au crédit sont majoritairement cités par les interviewés comme étant les principaux facteurs qui limitent l’activité. Toutefois, l’indicateur du climat des affaires a gagné 4 points sur un mois, particulièrement tiré par l’opinion des commerçants sur leur chiffre d’affaires. En octobre 2018, il est globalement attendu un repli du chiffre d’affaires dans le sous-secteur du commerce, en dessous de sa moyenne de long terme.
Pathé TOURE