La réunion visait à forger un partenariat stratégique sur l'établissement des programmes de recherche sur l'égalité entre les sexes et définir une stratégie claire pour le renforcement des capacités et le renforcement d'un programme de recherche commun, dans le cadre des Agendas 2030 et 2063.
La Directrice de la Division des politiques de développement social (SDPD), de la Commission économique pour l'Afrique (CEA), Mme TakyiwaaManuh, dans son discours d'ouverture, a souligné que « la nécessité de travailler, en plus des Etats, avec des acteurs non étatiques critiques, y compris les diverses institutions universitaires de recherche et de réflexion ainsi que d'autres organisations de la société civile. » Il s’agit pour elle d'assurer une communauté dynamique de la production et de la pratique des connaissances, axées sur les priorités de développement de l'Afrique.
La Coordinatrice du Centre africain pour le genre (CAG), Mme ThokozileRuzvidzo, pour sa part, a souligné l'importance d'identifier les stratégies les plus efficaces pour une diffusion accrue et de haute qualité des recherches de pointe qui puisse inspirer la CEA et le CAG/SDPD.
Entre autres, elle a également mentionné la nécessité d'établir un consensus sur les stratégies de capacité, l'influence politique, les interventions stratégiques et les approches pour l'expansion et la consolidation d'un bassin de chercheurs et d'experts qualifiés sur l' étude des femmes et le genre au sein des universités et des centres de recherche et des institutions de genre indépendants en Afrique.
Une réunion s’est tenue sur deux jours à Addis-Abeba et a couvet les différents enjeux et opportunités pour que les institutions d'enseignement supérieur pour le genre, les organisations de la société civile et les Groupes de réflexion travaillent avec le Centre africain pour le genre de la CEA et ONU-Femmes.
Amadou BA
La Directrice de la Division des politiques de développement social (SDPD), de la Commission économique pour l'Afrique (CEA), Mme TakyiwaaManuh, dans son discours d'ouverture, a souligné que « la nécessité de travailler, en plus des Etats, avec des acteurs non étatiques critiques, y compris les diverses institutions universitaires de recherche et de réflexion ainsi que d'autres organisations de la société civile. » Il s’agit pour elle d'assurer une communauté dynamique de la production et de la pratique des connaissances, axées sur les priorités de développement de l'Afrique.
La Coordinatrice du Centre africain pour le genre (CAG), Mme ThokozileRuzvidzo, pour sa part, a souligné l'importance d'identifier les stratégies les plus efficaces pour une diffusion accrue et de haute qualité des recherches de pointe qui puisse inspirer la CEA et le CAG/SDPD.
Entre autres, elle a également mentionné la nécessité d'établir un consensus sur les stratégies de capacité, l'influence politique, les interventions stratégiques et les approches pour l'expansion et la consolidation d'un bassin de chercheurs et d'experts qualifiés sur l' étude des femmes et le genre au sein des universités et des centres de recherche et des institutions de genre indépendants en Afrique.
Une réunion s’est tenue sur deux jours à Addis-Abeba et a couvet les différents enjeux et opportunités pour que les institutions d'enseignement supérieur pour le genre, les organisations de la société civile et les Groupes de réflexion travaillent avec le Centre africain pour le genre de la CEA et ONU-Femmes.
Amadou BA