Le volume total des investissements s’élève à plus de 320 millions de dollars (environ 178 milliards de francs CFA). Inscrite sur une ligne de crédit octroyée au Sénégal, cette manne est répartie dans le transport, l’agriculture, l’énergie, la santé, l’éducation, etc.) Provenant du dynamique secteur privé indien, cet investissement est visible dans le transport à travers les bus et mini bus de la société Tata, présente au Sénégal depuis 2015. Ce ne sont pas moins de 485 véhicules qui participent à la résolution du problème du transport à Dakar et à l’intérieur du pays.
Dans le secteur énergétique, la société Jendal Power, via un protocole avec l’Etat sénégalais, investit 300 millions de dollars (environ 167 milliards de francs CFA). Secteur stratégique s’il en est, puisque figurant en bonne place des priorités du Plan Sénégal émergent (PSE), l’énergie occupe le gros des investissements indiens dans notre pays. C’est ainsi que, avec le truchement de la Banque mondiale, l’entreprise KAC International s’investit pour la fourniture énergétique dans les régions de Tambacounda et Ziguinchor.
L’agriculture n’est pas en reste. « Pour accompagner le gouvernement sénégalais dans sa politique agricole, rizicole notamment, l’Inde a investi 65 millions de dollars (37 millions de francs CFA) dans la région de Saint-louis. Et nous comptons augmenter cet investissement », a déclaré M. Rajeev.
« Hormis la culture et l’éducation avec des formations offertes à des fonctionnaires sénégalais et des bourses d’études aux étudiants, l’Inde est également présente dans le secteur de la santé à travers dix entreprises pharmaceutiques. » Selon l’ambassadeur, « c’est pour faciliter la production de médicaments de qualité à moindre prix. »
Cette coopération économique entre New Delhi et Dakar est à double sens. « Avec les Industries chimiques du Sénégal, l’Inde importe de l’acide phosphorique pour 400 millions de dollars (près de 223 milliards de francs CFA), soit environ 557 millions de francs CFA. », a rappelé M. Kumar. Preuve que la coopération Sud-Sud est une réalité, celle entre l’Inde et le Sénégal, en tout cas constitue un bel exemple de réussite. Et pour la pérenne et pleinement inclusive, l’implication du secteur privé davantage accrue, assure M. Kumar.
Hawa Thiam
Dans le secteur énergétique, la société Jendal Power, via un protocole avec l’Etat sénégalais, investit 300 millions de dollars (environ 167 milliards de francs CFA). Secteur stratégique s’il en est, puisque figurant en bonne place des priorités du Plan Sénégal émergent (PSE), l’énergie occupe le gros des investissements indiens dans notre pays. C’est ainsi que, avec le truchement de la Banque mondiale, l’entreprise KAC International s’investit pour la fourniture énergétique dans les régions de Tambacounda et Ziguinchor.
L’agriculture n’est pas en reste. « Pour accompagner le gouvernement sénégalais dans sa politique agricole, rizicole notamment, l’Inde a investi 65 millions de dollars (37 millions de francs CFA) dans la région de Saint-louis. Et nous comptons augmenter cet investissement », a déclaré M. Rajeev.
« Hormis la culture et l’éducation avec des formations offertes à des fonctionnaires sénégalais et des bourses d’études aux étudiants, l’Inde est également présente dans le secteur de la santé à travers dix entreprises pharmaceutiques. » Selon l’ambassadeur, « c’est pour faciliter la production de médicaments de qualité à moindre prix. »
Cette coopération économique entre New Delhi et Dakar est à double sens. « Avec les Industries chimiques du Sénégal, l’Inde importe de l’acide phosphorique pour 400 millions de dollars (près de 223 milliards de francs CFA), soit environ 557 millions de francs CFA. », a rappelé M. Kumar. Preuve que la coopération Sud-Sud est une réalité, celle entre l’Inde et le Sénégal, en tout cas constitue un bel exemple de réussite. Et pour la pérenne et pleinement inclusive, l’implication du secteur privé davantage accrue, assure M. Kumar.
Hawa Thiam