"Nous engageons dans ce pays depuis les années ’60 et depuis le lancement de nos opérations, nous y avons investi directement presque 600 millions de dollars. Sur les cinq dernières, nous y avons investi plus de 170 millions de dollars, sur un portefeuille qui est aujourd’hui conséquent et diversifié", dit-il.
Par exemple, souligne-t-il, nous sommes présents dans le secteur énergétique et nos investissements dans plusieurs centrales produisent presque 35% de l’électricité au Sénégal. De même, nous investissons ou avons investi dans plusieurs fleurons de l’industrie sénégalaise.
"Ensuite, comme vous le savez, le Sénégal est l’un des moteurs de l’UEMOA et a ce titre, c’est un pays important pour nous, un pays dans lequel nous comptons accroître nos opérations", fait-il savoir.
Selon lui, la nouvelle stratégie d’IFC se veut plus proactive et vise à intensifier notre collaboration avec les gouvernements, les autres institutions du Groupe de la Banque mondiale et nos clients pour créer les conditions qui permettent l’essor du secteur privé, seul capable aujourd’hui de créer les emplois, de générer les revenus et la prospérité qui soutiendront le développement des pays où nous intervenons.
"A cet effet, nous continuons de renforcer nos équipes et accroître nos investissements non seulement au Sénégal, mais à travers l’Afrique", conclut-il.
Pathe TOURE
Par exemple, souligne-t-il, nous sommes présents dans le secteur énergétique et nos investissements dans plusieurs centrales produisent presque 35% de l’électricité au Sénégal. De même, nous investissons ou avons investi dans plusieurs fleurons de l’industrie sénégalaise.
"Ensuite, comme vous le savez, le Sénégal est l’un des moteurs de l’UEMOA et a ce titre, c’est un pays important pour nous, un pays dans lequel nous comptons accroître nos opérations", fait-il savoir.
Selon lui, la nouvelle stratégie d’IFC se veut plus proactive et vise à intensifier notre collaboration avec les gouvernements, les autres institutions du Groupe de la Banque mondiale et nos clients pour créer les conditions qui permettent l’essor du secteur privé, seul capable aujourd’hui de créer les emplois, de générer les revenus et la prospérité qui soutiendront le développement des pays où nous intervenons.
"A cet effet, nous continuons de renforcer nos équipes et accroître nos investissements non seulement au Sénégal, mais à travers l’Afrique", conclut-il.
Pathe TOURE