
Stéphane Le Foll, ministre français de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt
Aujourd’hui, il est clairement démenti par les faits que les organismes génétiquement modifiés (OGM) ne peuvent pas régler les problèmes alimentaires auxquels, le monde est confronté. Ce qu’on a pendant longtemps considéré comme une solution globale à tous les problèmes que l’on rencontrait s’est avéré faux. Et c’est l’expérience qui le démontre’’, a soutenu, Stéphane Le Foll.
Le ministre français de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt intervenait à l’occasion d’un point de presse conjoint avec les ministres sénégalais Papa Abdoulaye Seck ministre de l’agriculture et de l’Équipement rural et Mamadou Talla ministre de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Artisanat.
‘‘Si on veut avoir une solution globale, c’est-à-dire une ambition en termes de productions et de durabilité, on doit changer la manière dont on doit aborder les sujets. Il y a de ce point de vue, une mutation. Et je suis venu la porter au Sénégal. Je veux maintenant aider, fédérer et soutenir les initiatives’’, a dit M. Le Foll.
Pour lui la ‘‘génétique’’ ne peut à elle seule régler tous les problèmes qui interpellent le monde sur le plan agricole.
‘‘Je suis un ministre de l’agriculture qui considère qu’on aura besoin de la génétique, mais qu’elle ne peut pas à elle toute seule régler tous les problèmes. Par contre la fertilité des sols aux écosystèmes, quel qu’elle soit, est un enjeu nouveau, majeur pour tour toutes les agricultures africaines’’, a-t-il indiqué.
Selon lui c’est un ‘‘fait révélateur’’ de la mutation, en cours par rapport à l’agriculture, non sans insister sur les enjeux de la révolution verte.
‘‘La révolution verte agricole a engagé l’agriculture sur le machinisme et la chimie. La nouvelle mutation en cours, consiste en l’adaptation des mécanismes de chaque système, pour les maximiser’’, a-t-il relevé.
‘‘Et on viendra ensuite corriger, selon les problèmes, qu’on rencontre dans les productions agricoles, avec notamment avec les produits phytosanitaires’’, a til ajouté.
Idrissa Gueye
Le ministre français de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt intervenait à l’occasion d’un point de presse conjoint avec les ministres sénégalais Papa Abdoulaye Seck ministre de l’agriculture et de l’Équipement rural et Mamadou Talla ministre de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Artisanat.
‘‘Si on veut avoir une solution globale, c’est-à-dire une ambition en termes de productions et de durabilité, on doit changer la manière dont on doit aborder les sujets. Il y a de ce point de vue, une mutation. Et je suis venu la porter au Sénégal. Je veux maintenant aider, fédérer et soutenir les initiatives’’, a dit M. Le Foll.
Pour lui la ‘‘génétique’’ ne peut à elle seule régler tous les problèmes qui interpellent le monde sur le plan agricole.
‘‘Je suis un ministre de l’agriculture qui considère qu’on aura besoin de la génétique, mais qu’elle ne peut pas à elle toute seule régler tous les problèmes. Par contre la fertilité des sols aux écosystèmes, quel qu’elle soit, est un enjeu nouveau, majeur pour tour toutes les agricultures africaines’’, a-t-il indiqué.
Selon lui c’est un ‘‘fait révélateur’’ de la mutation, en cours par rapport à l’agriculture, non sans insister sur les enjeux de la révolution verte.
‘‘La révolution verte agricole a engagé l’agriculture sur le machinisme et la chimie. La nouvelle mutation en cours, consiste en l’adaptation des mécanismes de chaque système, pour les maximiser’’, a-t-il relevé.
‘‘Et on viendra ensuite corriger, selon les problèmes, qu’on rencontre dans les productions agricoles, avec notamment avec les produits phytosanitaires’’, a til ajouté.
Idrissa Gueye