
Madame Ngozi Okonjo-Iweala , ministre des finances du Nigéria et présidente de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF).
‘’ Nous espérons que dans les années à venir, le défi de la mobilisation des ressources va se résoudre dans les prochains cinq ou dix ans’’ a-t-elle ajouté.
Elle a fait savoir que ‘’le renforcement de capacité pour le développement des pays africains, sert à gérer le budget, les finances publiques, la planification, la gestion des infrastructures, les investissements privés des pays d’Afrique’’, lors de la cérémonie d’ouverture de la 23 éme session du conseil des Gouverneurs la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF), sous le thème « La mobilisation des ressources internes pour le financement de nos programme de développement ».
Selon, la présidente de l’ACBF, ‘’le plus grand défi de la fondation est le défi de la mobilisation des ressources de mobilisation pour l’organisation’’.
‘’Maintenant, les africains doivent savoir que les besoins de développement ont changé au fil des années d’où le besoin de l’acquisition de nouvelles connaissances ainsi que de renforcement de capacités afin de pouvoir gérer les économies de l’Afrique. Par conséquent, les pays africains doivent davantage soutenir cette fondation’’ a poursuit, Madame,Ngozi Okonjo-Iweala.
‘’Au départ, nous avions 12 pays avec le Sénégal, l’un des fondateurs de cette organisation qui enregistre aujourd’hui 39 nations africaines ‘’ a informé la présidente de l’ACBF.
‘’L’effort de soutien des pays d’Afrique a doublé de 14 millions de dollars à 28 millions de dollars. Mais il faut faire plus d’efforts, car l’appuie des partenaires externes est supérieur, comme la Banque mondiale avec 100 millions de dollars, la Banque Africaine de Développement (BAD) avec 50 millions de dollars sans compter, plusieurs pays européens et les Etats Unis’’.
Ndeye Maguette Kébé
Elle a fait savoir que ‘’le renforcement de capacité pour le développement des pays africains, sert à gérer le budget, les finances publiques, la planification, la gestion des infrastructures, les investissements privés des pays d’Afrique’’, lors de la cérémonie d’ouverture de la 23 éme session du conseil des Gouverneurs la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF), sous le thème « La mobilisation des ressources internes pour le financement de nos programme de développement ».
Selon, la présidente de l’ACBF, ‘’le plus grand défi de la fondation est le défi de la mobilisation des ressources de mobilisation pour l’organisation’’.
‘’Maintenant, les africains doivent savoir que les besoins de développement ont changé au fil des années d’où le besoin de l’acquisition de nouvelles connaissances ainsi que de renforcement de capacités afin de pouvoir gérer les économies de l’Afrique. Par conséquent, les pays africains doivent davantage soutenir cette fondation’’ a poursuit, Madame,Ngozi Okonjo-Iweala.
‘’Au départ, nous avions 12 pays avec le Sénégal, l’un des fondateurs de cette organisation qui enregistre aujourd’hui 39 nations africaines ‘’ a informé la présidente de l’ACBF.
‘’L’effort de soutien des pays d’Afrique a doublé de 14 millions de dollars à 28 millions de dollars. Mais il faut faire plus d’efforts, car l’appuie des partenaires externes est supérieur, comme la Banque mondiale avec 100 millions de dollars, la Banque Africaine de Développement (BAD) avec 50 millions de dollars sans compter, plusieurs pays européens et les Etats Unis’’.
Ndeye Maguette Kébé