« Située à 15 km au Nord-Est de Mbour, la ferme de la SEDIMA à DJILAKH est sous le feu des projecteurs, ces derniers temps, grâce à ce qu’il convient désormais d’appeler l’affaire SEDIMA-NDINGLER », indique d’emblée la Sedima dans son texte de mise au point. En effet, ajoute-t-elle, des activistes mal intentionnés, des politiciens en mal de notoriété et certaines populations manipulées, ont investi les médias pour dénoncer, selon eux, ce qu’ils appellent « l’accaparement de leurs terres par le Président Babacar NGOM ».
Selon la même source , tout a commencé en 2012 lorsque la SEDIMA a décidé d’investir dans l’agriculture et que les prospections faites dans la commune de SINDIA ont permis à la direction générale d’acquérir des parcelles au sein du village de DJILAKH. Et de poursuivre : « Chaque ayant droit a été dédommagé. Des délibérations lui ont alors été attribuées sur chaque terrain. En Suivant la procédure réglementaire, elle obtient la délibération globale numéro 05/CRS du conseil rural de SINDIA, en date du 04 décembre 2012, sur une surface de 300 hectares. Contrairement à ce qui a été annoncé, ces terres n’étaient pas exploitées. Elles étaient essentiellement peuplées de baobab, d’arbustes, de broussailles touffues et de bosquets ».
La Sedima renseigne dans la foulée que d’importants travaux ont alors été entrepris, en 2013, pour aménager et viabiliser le terrain. En ce sens, lit-on dans le dans le texte, une société spécialisée dans ce domaine a été engagée pour dessoucher les baobabs et débroussailler tout le périmètre. Ce fut, d’après le document, de lourds et coûteux travaux.
Dans le même temps, la Sedima rappelle qu’une demande de bail a été formulée auprès des autorités compétentes et tous les frais relatifs aux droits d’enregistrement et de timbre, des frais de formalités foncières ainsi que les redevances annuelles ont été payés. « Aussitôt le bail délivré, la procédure de transformation en titre foncier a été entamée. Après avoir satisfait à toutes les formalités administratives, y comprises les enquêtes de commodo et incommodo, 224 hectares identifiés disponibles ont fait l’objet du titre foncier numéro 2247/MB, établi en 2019 au nom de la SEDIMA. La procédure aura duré huit ans », soutient la Sedima.
Depuis le début de la contestation de certaines personnes sur la propriété de la SEDIMA, le texte souligne qu’une confusion est volontairement entretenue par des esprits malveillants. En effet, « les 76 hectares de la SEDIMA, déduits des 300 hectares délibérés par la commune de SINDIA, qui n’ont pas été pris en compte par le titre foncier, se trouvent bien du côté de DJILAKH, comme le montre la carte supra ». Pour le groupe Sedima, ils sont présentement occupés par des habitants de ce village qui y mènent des activités agricoles. « C’est en exploitant cette information que les agitateurs qui manipulent la population de NDINGLER ont fixé la prétention, indue, à 75 hectares dans le périmètre de la ferme de la SEDIMA », soutient la société de Babacar Ngom. Qui déclare qu’ « en tout état de cause, l’assiette foncière acquise par la SEDIMA se trouve entièrement dans la commune de SINDIA à plus de six kilomètres du village de NDINGLER ». Par conséquent, « la SEDIMA ne pourra en aucun cas céder des terrains appartenant alloués par le village de DJILAKH à un autre village ».
D’ores et déjà, la Sedima informe que plus de 300 personnes, ressortissantes des localités voisines de DJILAKH, travaillent quotidiennement à la ferme avant d’indiquer qu’à terme, plus de 2.500 personnes devront être recrutées par le programme.
Bassirou MBAYE
Selon la même source , tout a commencé en 2012 lorsque la SEDIMA a décidé d’investir dans l’agriculture et que les prospections faites dans la commune de SINDIA ont permis à la direction générale d’acquérir des parcelles au sein du village de DJILAKH. Et de poursuivre : « Chaque ayant droit a été dédommagé. Des délibérations lui ont alors été attribuées sur chaque terrain. En Suivant la procédure réglementaire, elle obtient la délibération globale numéro 05/CRS du conseil rural de SINDIA, en date du 04 décembre 2012, sur une surface de 300 hectares. Contrairement à ce qui a été annoncé, ces terres n’étaient pas exploitées. Elles étaient essentiellement peuplées de baobab, d’arbustes, de broussailles touffues et de bosquets ».
La Sedima renseigne dans la foulée que d’importants travaux ont alors été entrepris, en 2013, pour aménager et viabiliser le terrain. En ce sens, lit-on dans le dans le texte, une société spécialisée dans ce domaine a été engagée pour dessoucher les baobabs et débroussailler tout le périmètre. Ce fut, d’après le document, de lourds et coûteux travaux.
Dans le même temps, la Sedima rappelle qu’une demande de bail a été formulée auprès des autorités compétentes et tous les frais relatifs aux droits d’enregistrement et de timbre, des frais de formalités foncières ainsi que les redevances annuelles ont été payés. « Aussitôt le bail délivré, la procédure de transformation en titre foncier a été entamée. Après avoir satisfait à toutes les formalités administratives, y comprises les enquêtes de commodo et incommodo, 224 hectares identifiés disponibles ont fait l’objet du titre foncier numéro 2247/MB, établi en 2019 au nom de la SEDIMA. La procédure aura duré huit ans », soutient la Sedima.
Depuis le début de la contestation de certaines personnes sur la propriété de la SEDIMA, le texte souligne qu’une confusion est volontairement entretenue par des esprits malveillants. En effet, « les 76 hectares de la SEDIMA, déduits des 300 hectares délibérés par la commune de SINDIA, qui n’ont pas été pris en compte par le titre foncier, se trouvent bien du côté de DJILAKH, comme le montre la carte supra ». Pour le groupe Sedima, ils sont présentement occupés par des habitants de ce village qui y mènent des activités agricoles. « C’est en exploitant cette information que les agitateurs qui manipulent la population de NDINGLER ont fixé la prétention, indue, à 75 hectares dans le périmètre de la ferme de la SEDIMA », soutient la société de Babacar Ngom. Qui déclare qu’ « en tout état de cause, l’assiette foncière acquise par la SEDIMA se trouve entièrement dans la commune de SINDIA à plus de six kilomètres du village de NDINGLER ». Par conséquent, « la SEDIMA ne pourra en aucun cas céder des terrains appartenant alloués par le village de DJILAKH à un autre village ».
D’ores et déjà, la Sedima informe que plus de 300 personnes, ressortissantes des localités voisines de DJILAKH, travaillent quotidiennement à la ferme avant d’indiquer qu’à terme, plus de 2.500 personnes devront être recrutées par le programme.
Bassirou MBAYE