En effet, note le Restic dans un communiqué de presse, grâce aux synergies dynamiques entre l'opérateur historique et l’Artp à travers le Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications, avec bien sur l’appui du Ministère de l'économie numérique les arrondissements de Gourel Diatta dans le département de Goudiry sont connectés aux réseaux voix et données assurant une connectivité mobile 4G.
« Une avancée majeure rendue possible grâce au Fonds de développement du service universel des télécommunications (Fdsut) et à Sonatel, partenaires clés du Projet d'accès universel (Pau) qui ambitionne de connecter 1 550 localités au haut débit mobile d'ici 2029. C’est une avancée significative dans l’aménagement numérique du territoire au moment où le continent prépare le virage vers l’intelligence artificielle », note le Restic.
Le Restic appelle donc à une accélération du projet d’accès universel sous l'égide de l’Artp et surtout d’impliquer tous les opérateurs dans la mise en œuvre et le déploiement afin de réduire la fracture numérique et digitale à travers le pays. Selon le Restic, tous les opérateurs doivent accompagner cette initiative et l’état doit accompagner avec des incitations ad-hoc – fiscales, parafiscales et législatives - Les chantiers d’accès universel ont pris un grand retard ici au Sénégal.
Le Restic encourage tous ses membres à faire de la fracture numérique et digitale un défi majeur dans leur démarche d’équité territoriale et invite les opérateurs et l’état à envisager des solutions, applications et technologies endogènes pour élargir l’écosystème numérique et digitale sur tout le territoire avec les avancées rendues possibles par l’accès universel.
Adou Faye
« Une avancée majeure rendue possible grâce au Fonds de développement du service universel des télécommunications (Fdsut) et à Sonatel, partenaires clés du Projet d'accès universel (Pau) qui ambitionne de connecter 1 550 localités au haut débit mobile d'ici 2029. C’est une avancée significative dans l’aménagement numérique du territoire au moment où le continent prépare le virage vers l’intelligence artificielle », note le Restic.
Le Restic appelle donc à une accélération du projet d’accès universel sous l'égide de l’Artp et surtout d’impliquer tous les opérateurs dans la mise en œuvre et le déploiement afin de réduire la fracture numérique et digitale à travers le pays. Selon le Restic, tous les opérateurs doivent accompagner cette initiative et l’état doit accompagner avec des incitations ad-hoc – fiscales, parafiscales et législatives - Les chantiers d’accès universel ont pris un grand retard ici au Sénégal.
Le Restic encourage tous ses membres à faire de la fracture numérique et digitale un défi majeur dans leur démarche d’équité territoriale et invite les opérateurs et l’état à envisager des solutions, applications et technologies endogènes pour élargir l’écosystème numérique et digitale sur tout le territoire avec les avancées rendues possibles par l’accès universel.
Adou Faye