
Ryuichi Kato, le représentant résident de l'Agence Japonaise de Coopération Internationale au Sénégal
Selon les responsables de la JICA, la première mission est de traiter des problèmes de portée mondiale. Il s’agit ainsi de répondre aux questions prioritaires de portée mondiale telles que le changement climatique, l’eau, l’alimentation, l’énergie, les maladies infectieuses et le financement.
La deuxième mission est de réduire la pauvreté par une croissance équitable. Selon la JICA, cela passe par la poursuite d’un effort soutenu pour réduire la pauvreté grâce à une croissance globale équitable.
La troisième mission de la JICA est l’amélioration de la gouvernance. Il est question de renforcer les politiques, les institutions, les organisations et les ressources humaine en tant que bases du développement.
Enfin la dernière mission est de garantir la sécurité humaine à travers la protection des personnes contre les menaces.
Pour mener à bien ces missions, la JICA entend utiliser quatre stratégies à savoir l’assistance globale (combiner soutien aux politiques, renforcement des institutions, développement des capacités humaine, assistance transfrontalières et intersectorielle), l’assistance continue (formation rapide et constante d’aide), encourager les partenariats pour le développement et promouvoir la recherche et le partage des connaissances.
C’est dans le cadre de cette vision et stratégie que le Japon a financé le projet de construction du Centre d’application pour la santé de la mère et de l’enfant de l’Ecole Nationale de Développement Sanitaire et Social (ENDSS) pour un montant de 2,900 milliards FCFA. Selon les responsables de la JICA, ce projet s’inscrit dans la politique de l’aide publique au développement du Japon qui accorde une importance particulière aux services sociaux de base dont la santé en particulier celle de la mère et de l’enfant constitue le socle.
Ismaila BA
La deuxième mission est de réduire la pauvreté par une croissance équitable. Selon la JICA, cela passe par la poursuite d’un effort soutenu pour réduire la pauvreté grâce à une croissance globale équitable.
La troisième mission de la JICA est l’amélioration de la gouvernance. Il est question de renforcer les politiques, les institutions, les organisations et les ressources humaine en tant que bases du développement.
Enfin la dernière mission est de garantir la sécurité humaine à travers la protection des personnes contre les menaces.
Pour mener à bien ces missions, la JICA entend utiliser quatre stratégies à savoir l’assistance globale (combiner soutien aux politiques, renforcement des institutions, développement des capacités humaine, assistance transfrontalières et intersectorielle), l’assistance continue (formation rapide et constante d’aide), encourager les partenariats pour le développement et promouvoir la recherche et le partage des connaissances.
C’est dans le cadre de cette vision et stratégie que le Japon a financé le projet de construction du Centre d’application pour la santé de la mère et de l’enfant de l’Ecole Nationale de Développement Sanitaire et Social (ENDSS) pour un montant de 2,900 milliards FCFA. Selon les responsables de la JICA, ce projet s’inscrit dans la politique de l’aide publique au développement du Japon qui accorde une importance particulière aux services sociaux de base dont la santé en particulier celle de la mère et de l’enfant constitue le socle.
Ismaila BA