
En 2008, note le rapport Perspectives économiques 2017 pour l’Afrique , plus de 50 % des entreprises et des entrepreneurs d’Afrique subsaharienne avaient accès à l’électricité. Aujourd’hui, 39 % des entreprises africaines voient dans le manque d’accès à l’électricité un obstacle important, une part à comparer à celle des pays de l’OCDE à revenu élevé (20 %).
Dans toute l’Afrique subsaharienne, les coupures de courant et leur durée sont très problématiques. Cette source de données montre également que le nombre de coupures par mois est d’environ 8.5 en Afrique subsaharienne, pour une durée habituelle de 4.1 heures – contre 0.4 coupure par mois pendant 0.4 heure dans les pays de l’OCDE à revenu élevé.
Le manque de fiabilité de l’alimentation électrique affecte les opportunités économiques dans la plupart des pays africains. Dans 25 d’entre eux, les réseaux électriques sont souvent défaillants, avec des coupures de courant, une alimentation erratique et des tarifs élevés. Sans compter que le prix de l’électricité ne cesse d’augmenter, attisé par une demande qui excède les capacités de production.
Les lignes actuelles de transport à travers le continent sont surexploitées, ce qui accroît la fréquence des pannes et réduit les perspectives de croissance économique. Faute d’investissements dans les infrastructures énergétiques et électriques, la plupart des entreprises produisent leur propre électricité à l’aide de moteurs ou groupes électrogènes au diesel, ce qui renchérit les coûts de production.
Pathé TOURE
Dans toute l’Afrique subsaharienne, les coupures de courant et leur durée sont très problématiques. Cette source de données montre également que le nombre de coupures par mois est d’environ 8.5 en Afrique subsaharienne, pour une durée habituelle de 4.1 heures – contre 0.4 coupure par mois pendant 0.4 heure dans les pays de l’OCDE à revenu élevé.
Le manque de fiabilité de l’alimentation électrique affecte les opportunités économiques dans la plupart des pays africains. Dans 25 d’entre eux, les réseaux électriques sont souvent défaillants, avec des coupures de courant, une alimentation erratique et des tarifs élevés. Sans compter que le prix de l’électricité ne cesse d’augmenter, attisé par une demande qui excède les capacités de production.
Les lignes actuelles de transport à travers le continent sont surexploitées, ce qui accroît la fréquence des pannes et réduit les perspectives de croissance économique. Faute d’investissements dans les infrastructures énergétiques et électriques, la plupart des entreprises produisent leur propre électricité à l’aide de moteurs ou groupes électrogènes au diesel, ce qui renchérit les coûts de production.
Pathé TOURE