
Malgré les éléments indiquant que les taux d’homicide ont diminué de 16 % à l’échelle mondiale entre 2000 et 2012, la violence demeure très fréquente. Les actes de violence n’entraînant pas la mort font de nombreuses victimes chez les femmes et les enfants. Un enfant sur quatre a été victime de violences physiques ; une fille sur cinq a fait l’objet de violences sexuelles ; et une femme sur trois est victime au cours de sa vie de violences physiques et/ou sexuelles exercées par des partenaires intimes.
Les conséquences de la violence sur la santé physique, mentale, sexuelle et génésique durent souvent toute une vie. La violence contribue par ailleurs aux principales causes de décès telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et le VIH/sida car les victimes ont un risque accru d’adopter des comportements comme le tabagisme, la consommation d’alcool et de drogues et les comportements sexuels à risque.
Selon Margaret Chan, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé, « Les effets de la violence sur les familles et les communautés sont considérables et peuvent avoir pour conséquences un mauvais état de santé, qui dure toute la vie pour les personnes touchées ».
« Nous savons pourtant ce qui fonctionne pour prévenir la violence dans nos foyers et nos écoles, sur nos lieux de travail, sur les aires de jeu et dans nos rues. Nous devrions prendre exemple sur les États qui ont montré que l’on pouvait réussir à réduire la violence en prenant les mesures nécessaires. Ils nous montrent qu’il est en réalité possible de prévenir la violence. »
Oumar Nourou
Les conséquences de la violence sur la santé physique, mentale, sexuelle et génésique durent souvent toute une vie. La violence contribue par ailleurs aux principales causes de décès telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et le VIH/sida car les victimes ont un risque accru d’adopter des comportements comme le tabagisme, la consommation d’alcool et de drogues et les comportements sexuels à risque.
Selon Margaret Chan, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé, « Les effets de la violence sur les familles et les communautés sont considérables et peuvent avoir pour conséquences un mauvais état de santé, qui dure toute la vie pour les personnes touchées ».
« Nous savons pourtant ce qui fonctionne pour prévenir la violence dans nos foyers et nos écoles, sur nos lieux de travail, sur les aires de jeu et dans nos rues. Nous devrions prendre exemple sur les États qui ont montré que l’on pouvait réussir à réduire la violence en prenant les mesures nécessaires. Ils nous montrent qu’il est en réalité possible de prévenir la violence. »
Oumar Nourou