
« La rencontre de ce matin est d’une importance capitale en ce sens qu’elle marque le lancement des travaux de l’atelier de priorisation des actions d’éducation financière. », déclare d’emblée le directeur exécutif de l’Observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf).
Habib Ndao qui s’exprimait ce matin à l’occasion d’un atelier de priorisation des actions d’éducation financière, co-organisé par l’Oqsf et la Bceao, souligne que l’atelier vise principalement à identifier les différentes synergies d’actions entre acteurs et s’accorder sur un chronogramme prioritaire pour l’élaboration du programme national d’éducation financière.
La tenue de cet atelier, selon lui, constitue, assurément, un pas décisif dans la mise en place de stratégies visant à renforcer les capacités et compétences de la population pour mieux appréhender les opportunités qu’offre leur insertion dans le système financier mais, aider également, les couches vulnérables à sortir de la précarité.
A l’en croire, la dynamique de collaboration autour de la question de l’éducation financière illustre parfaitement l’engagement des acteurs de l’écosystème à assurer la mutualisation des ressources et expertises disponibles dans l’optique d’une coopération plus efficace et plus efficiente au profit d’une population financièrement mieux éduquée, d’usagers mieux protégés et d’un secteur financier plus inclusif.
Pour Habib Ndao, l’éducation financière constitue l’un des trois piliers de la protection des clients à côté de l’inclusion financière et la régulation du secteur. A ce titre, indique-t-il, il apparait comme un levier essentiel qui devrait « permettre de susciter chez nos concitoyens un goût pour la formalisation de leurs activités économiques et financières, d’avoir un meilleur accès aux produits et services financiers mais aussi, d’en saisir les opportunités ».
Dans le même sillage, le directeur exécutif est d’avis que l’objectif d’inclure les populations ne saurait se concevoir sans une amélioration de leurs connaissances en matière de finance et de gestion de leurs revenus. Par conséquent, précise qu’en particulier, l’élaboration de ce programme national d’éducation financière devrait aider les enfants, les jeunes à mieux orienter leurs décisions vers des choix responsables, saisir les opportunités d’investissements, transformer leur savoir en capital et à contribuer à l’émergence d’une économie basée sur la connaissance.
C’est fort de ces enjeux, confie enfin M. Ndao, que l’Oqsf s’investit invariablement dans sa mission d’accompagner les usagers, les opérateurs financiers, les régulateurs, les pouvoirs publics en vue d’une plus grande inclusion financière des populations.
Bassirou MBAYE
Habib Ndao qui s’exprimait ce matin à l’occasion d’un atelier de priorisation des actions d’éducation financière, co-organisé par l’Oqsf et la Bceao, souligne que l’atelier vise principalement à identifier les différentes synergies d’actions entre acteurs et s’accorder sur un chronogramme prioritaire pour l’élaboration du programme national d’éducation financière.
La tenue de cet atelier, selon lui, constitue, assurément, un pas décisif dans la mise en place de stratégies visant à renforcer les capacités et compétences de la population pour mieux appréhender les opportunités qu’offre leur insertion dans le système financier mais, aider également, les couches vulnérables à sortir de la précarité.
A l’en croire, la dynamique de collaboration autour de la question de l’éducation financière illustre parfaitement l’engagement des acteurs de l’écosystème à assurer la mutualisation des ressources et expertises disponibles dans l’optique d’une coopération plus efficace et plus efficiente au profit d’une population financièrement mieux éduquée, d’usagers mieux protégés et d’un secteur financier plus inclusif.
Pour Habib Ndao, l’éducation financière constitue l’un des trois piliers de la protection des clients à côté de l’inclusion financière et la régulation du secteur. A ce titre, indique-t-il, il apparait comme un levier essentiel qui devrait « permettre de susciter chez nos concitoyens un goût pour la formalisation de leurs activités économiques et financières, d’avoir un meilleur accès aux produits et services financiers mais aussi, d’en saisir les opportunités ».
Dans le même sillage, le directeur exécutif est d’avis que l’objectif d’inclure les populations ne saurait se concevoir sans une amélioration de leurs connaissances en matière de finance et de gestion de leurs revenus. Par conséquent, précise qu’en particulier, l’élaboration de ce programme national d’éducation financière devrait aider les enfants, les jeunes à mieux orienter leurs décisions vers des choix responsables, saisir les opportunités d’investissements, transformer leur savoir en capital et à contribuer à l’émergence d’une économie basée sur la connaissance.
C’est fort de ces enjeux, confie enfin M. Ndao, que l’Oqsf s’investit invariablement dans sa mission d’accompagner les usagers, les opérateurs financiers, les régulateurs, les pouvoirs publics en vue d’une plus grande inclusion financière des populations.
Bassirou MBAYE