
, Carlos Lopes, sous-secrétaire de l’ONU et secrétaire exécutif de la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique.
Pour Carlos Lopes qui s’exprimait à la cérémonie d’ouverture de la réunion préparatoire au sommet du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) sur le financement des infrastructures, le plus grand défi de l’Afrique reste le secteur de l’électricité.
‘’Alors que sa population est de 45 millions, l’Espagne génère autant d’électricité que 40 pays africains. En outre, seuls 38% des Africains ont accès à l’électricité, alors que la proportion est à 70% dans les pays en développement », a-t-il informé.
Le sous-secrétaire de l’ONU, estime par ailleurs que ‘’les infrastructures ont un rôle vital à jouer dans la transformation structurelle du continent’’.
‘’Le rythme actuel de la croissance économique du contient africain est insuffisant pour garantir son développement’’, a-t-il encore dit.
Carlos Lopez a soutenu que ‘’le rythme actuel de croissance de l’Afrique, près de 5% par an, bien que respectable, est insuffisant. Il ne suffit pas pour atteindre la croissance à deux chiffres et à transformer les économies émergentes’’.
D’après le secrétaire exécutif de la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique, en termes de croissance, l'Afrique perd deux points de pourcentage, du fait de l’insuffisance d’infrastructures.
Ndeye Maguette Kébé
‘’Alors que sa population est de 45 millions, l’Espagne génère autant d’électricité que 40 pays africains. En outre, seuls 38% des Africains ont accès à l’électricité, alors que la proportion est à 70% dans les pays en développement », a-t-il informé.
Le sous-secrétaire de l’ONU, estime par ailleurs que ‘’les infrastructures ont un rôle vital à jouer dans la transformation structurelle du continent’’.
‘’Le rythme actuel de la croissance économique du contient africain est insuffisant pour garantir son développement’’, a-t-il encore dit.
Carlos Lopez a soutenu que ‘’le rythme actuel de croissance de l’Afrique, près de 5% par an, bien que respectable, est insuffisant. Il ne suffit pas pour atteindre la croissance à deux chiffres et à transformer les économies émergentes’’.
D’après le secrétaire exécutif de la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique, en termes de croissance, l'Afrique perd deux points de pourcentage, du fait de l’insuffisance d’infrastructures.
Ndeye Maguette Kébé