Il a déclaré que le secteur privé par sa voix réaffirme qu’être constructif pour « le mieux être » et « le mieux vivre » des citoyens sénégalais est cette éthique qu’il partage avec votre Gouvernement et les centrales syndicales de travailleurs.
«Oui, dans la République, il revient à chaque citoyen de jouer sa partition… Et la nôtre, celle du secteur privé, est d’investir, de créer des emplois durables et de contribuer à la création de richesses », a indiqué le président du Cnp. Selon lui, pour construire notre souveraineté économique ; pour apporter une réponse aux difficultés budgétaires de l’Etat ; pour supprimer toute anxiété et précarité qui affectent les travailleurs ; et pour mettre fin à toute baisse ou arrêt d’activités d’entreprises, il nous faut tout simplement être ensemble et agir ensemble, Etat, secteur privé, syndicat des travailleurs.
Maintenant, a-t-il dit, nous disons que le temps est à l’action pour sa mise en œuvre dans un bon climat de confiance tripartite.
«Concernant les préoccupations du secteur privé et les décisions attendues à travers ledit Pacte Social, elles ont trait principalement au paiement de la dette intérieure ; à l’amélioration du climat des affaires par la relance des concertations techniques avec les départements ministériels ; à l’élargissement de l’assiette fiscale ; à la mise en place d’une politique nationale de la productivité du travail ; à l’amélioration des procédures et traitements des contentieux judiciaires sociaux ; à notre présence au sein du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz ; à notre contribution à l’élaboration du projet de loi sur la souveraineté économique », a listé Baïdy Agne.
Il n’a pas manqué de plaider pour l’instauration d’une concertation publique/privée de haut niveau permettant au Chef de l’Etat et au Premier Ministre de prendre des directives sur des questions transversales impliquant plusieurs départements ministériels. Le président du Cnp a affirmé que si l’entreprise est en « bonne santé », alors les fruits de sa croissance ainsi que sa pérennité vont engendrer une contribution plus substantielle au budget de l’Etat, un meilleur pouvoir d’achat des travailleurs, une solidarité nationale plus forte à travers cette redistribution de revenus générés.
«Nous sommes tous Etat, secteur privé et travailleurs des partenaires. Ce qui est bon pour l’entreprise, est bon pour le Sénégal », a martelé M. Agne.
Adou Faye
«Oui, dans la République, il revient à chaque citoyen de jouer sa partition… Et la nôtre, celle du secteur privé, est d’investir, de créer des emplois durables et de contribuer à la création de richesses », a indiqué le président du Cnp. Selon lui, pour construire notre souveraineté économique ; pour apporter une réponse aux difficultés budgétaires de l’Etat ; pour supprimer toute anxiété et précarité qui affectent les travailleurs ; et pour mettre fin à toute baisse ou arrêt d’activités d’entreprises, il nous faut tout simplement être ensemble et agir ensemble, Etat, secteur privé, syndicat des travailleurs.
Maintenant, a-t-il dit, nous disons que le temps est à l’action pour sa mise en œuvre dans un bon climat de confiance tripartite.
«Concernant les préoccupations du secteur privé et les décisions attendues à travers ledit Pacte Social, elles ont trait principalement au paiement de la dette intérieure ; à l’amélioration du climat des affaires par la relance des concertations techniques avec les départements ministériels ; à l’élargissement de l’assiette fiscale ; à la mise en place d’une politique nationale de la productivité du travail ; à l’amélioration des procédures et traitements des contentieux judiciaires sociaux ; à notre présence au sein du Comité d’orientation stratégique du pétrole et du gaz ; à notre contribution à l’élaboration du projet de loi sur la souveraineté économique », a listé Baïdy Agne.
Il n’a pas manqué de plaider pour l’instauration d’une concertation publique/privée de haut niveau permettant au Chef de l’Etat et au Premier Ministre de prendre des directives sur des questions transversales impliquant plusieurs départements ministériels. Le président du Cnp a affirmé que si l’entreprise est en « bonne santé », alors les fruits de sa croissance ainsi que sa pérennité vont engendrer une contribution plus substantielle au budget de l’Etat, un meilleur pouvoir d’achat des travailleurs, une solidarité nationale plus forte à travers cette redistribution de revenus générés.
«Nous sommes tous Etat, secteur privé et travailleurs des partenaires. Ce qui est bon pour l’entreprise, est bon pour le Sénégal », a martelé M. Agne.
Adou Faye