chroniques
Oumar Guèye, ministre de la Pêche et de l'Economie maritime
"Nous voulons travailler en cohérence pour qu'au niveau de chaque chaîne de valeur, nous puissions appliquer une politique cohérente pour que cette pêche puisse apporter plus de ressources", a-t-il déclaré à l'ouverture d'un atelier sur la "Lettre de politique sectorielle de la pêche".
Cette rencontre, dont Oumar Guèye présidait la cérémonie officielle d'ouverture, portait également sur le "diagnostic" de la pêche et de l'aquaculture.
"Nous accordons une importance capitale" au secteur ''mais nous voulons que cette attention soit globale dans la gestion du secteur notamment toute la chaîne de valeur", de la ressource à la distribution, en passant par la capture, les débarquements, la chaîne de froid, la transformation et la commercialisation, a-t-il indiqué.
"La pêche et l'aquaculture occupent une place importante pour notre économie et au plan alimentaire, 70% des apports en protéine provient de la pêche et fait travailler plus de 600 000 personnes (...)", a soutenu Oumar Guèye.
Selon lui, un accent sera mis sur l'aquaculture, un secteur en croissance à travers le monde. "35% de la production halieutique est aquacole, nous sommes donc obligés de nous intéresser à ce secteur qui, dans les années à venir, va prendre un essor considérable", a-t-il ajouté.
Il a également rappelé le vote prochain du nouveau code de la pêche qui "prend en compte la préservation de la ressource pour que le maximum de Sénégalais puisse en bénéficier et que cette ressource soit une ressource de richesse pour les pêcheurs, mareyeurs et femmes transformatrices".
Le ministère de la Pêche et de l'Economie maritime bénéficie de l'appui technique et financier de la FAO, à travers un Programme de coopération technique (TCP) pour la réalisation du bilan de la mise en œuvre de la "Lettre de politique sectorielle de la pêche" et le "diagnostic" de la pêche et de l'aquaculture.
L'exécution de ce programme est prévu en deux phases, dont la première consacrée au bilan et une deuxième à la formulation d'une nouvelle Lettre de politique de pêche, cadre d'intervention du secteur sur la période 2015-2020, articulée au Plan Sénégal émergent et définissant les mécanismes de financement et de suivi.
APS
Cette rencontre, dont Oumar Guèye présidait la cérémonie officielle d'ouverture, portait également sur le "diagnostic" de la pêche et de l'aquaculture.
"Nous accordons une importance capitale" au secteur ''mais nous voulons que cette attention soit globale dans la gestion du secteur notamment toute la chaîne de valeur", de la ressource à la distribution, en passant par la capture, les débarquements, la chaîne de froid, la transformation et la commercialisation, a-t-il indiqué.
"La pêche et l'aquaculture occupent une place importante pour notre économie et au plan alimentaire, 70% des apports en protéine provient de la pêche et fait travailler plus de 600 000 personnes (...)", a soutenu Oumar Guèye.
Selon lui, un accent sera mis sur l'aquaculture, un secteur en croissance à travers le monde. "35% de la production halieutique est aquacole, nous sommes donc obligés de nous intéresser à ce secteur qui, dans les années à venir, va prendre un essor considérable", a-t-il ajouté.
Il a également rappelé le vote prochain du nouveau code de la pêche qui "prend en compte la préservation de la ressource pour que le maximum de Sénégalais puisse en bénéficier et que cette ressource soit une ressource de richesse pour les pêcheurs, mareyeurs et femmes transformatrices".
Le ministère de la Pêche et de l'Economie maritime bénéficie de l'appui technique et financier de la FAO, à travers un Programme de coopération technique (TCP) pour la réalisation du bilan de la mise en œuvre de la "Lettre de politique sectorielle de la pêche" et le "diagnostic" de la pêche et de l'aquaculture.
L'exécution de ce programme est prévu en deux phases, dont la première consacrée au bilan et une deuxième à la formulation d'une nouvelle Lettre de politique de pêche, cadre d'intervention du secteur sur la période 2015-2020, articulée au Plan Sénégal émergent et définissant les mécanismes de financement et de suivi.
APS
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