Selon le ministre, le contexte de l’année 2014 est marqué par le démarrage de la première vaque de projets phares (14 sur 27) et de réformes phares (5 sur 17) du PSE. « Au cours de l’année 2014, le gouvernement s’est engagé à relever les défis tels que l’autosuffisance alimentaire, la réalisation d’infrastructures routières de qualité, l’accès à l’énergie, l’intensification des efforts de lutte contre les changements climatiques », a notamment affirmé M. Mangara.
Sur le plan macroéconomique, il estime que certaines conditions initiales semblent être plus favorables pour une croissance plus soutenue, durable et inclusive. Selon lui, les marges budgétaires se sont améliorées, l’inflation établie à moins 1,1% en 2014 contre plus 0,7% en 2013. « Le déficit budgétaire, dons compris, s’est amélioré de 0,4% point du Produit intérieur brut (PIB), passant de 400,4 milliards FCFA (5,4% du PIB) en 2013 à 391,7 milliards FCFA (soit 4,9% du PIB) en 2014 », a encore affirmé le ministre du budget.
Quant à l’encours de la dette publique, il est ressorti à 53,1% du PIB en 2014, suite à l’appréciation du dollar, contre 45,2% en 2013. Selon le ministre, ce pourcentage est en-dessous de la norme de 70% retenue dans le cadre du pacte de convergence de l’UEMOA.
« Le bilan que nous dresserons de la mise en œuvre de nos politiques publiques, facilitera l’identification de mesures correctives nécessaires pour lever les contraintes et ouvrir la voie à des prospectives meilleures pour la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) », a laissé entendre M. Birima Mangara à l’endroit des participants à l’atelier.
El Hadj Diakhaté
Sur le plan macroéconomique, il estime que certaines conditions initiales semblent être plus favorables pour une croissance plus soutenue, durable et inclusive. Selon lui, les marges budgétaires se sont améliorées, l’inflation établie à moins 1,1% en 2014 contre plus 0,7% en 2013. « Le déficit budgétaire, dons compris, s’est amélioré de 0,4% point du Produit intérieur brut (PIB), passant de 400,4 milliards FCFA (5,4% du PIB) en 2013 à 391,7 milliards FCFA (soit 4,9% du PIB) en 2014 », a encore affirmé le ministre du budget.
Quant à l’encours de la dette publique, il est ressorti à 53,1% du PIB en 2014, suite à l’appréciation du dollar, contre 45,2% en 2013. Selon le ministre, ce pourcentage est en-dessous de la norme de 70% retenue dans le cadre du pacte de convergence de l’UEMOA.
« Le bilan que nous dresserons de la mise en œuvre de nos politiques publiques, facilitera l’identification de mesures correctives nécessaires pour lever les contraintes et ouvrir la voie à des prospectives meilleures pour la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) », a laissé entendre M. Birima Mangara à l’endroit des participants à l’atelier.
El Hadj Diakhaté