Selon la Dpee, l’indicateur qui le synthétise, calculé sur la base des soldes d’opinions, a gagné 1,6 point pour se retrouver à 98,1, au-dessous de son niveau de long terme. Cette situation reflète les orientations favorables des opinions des prestataires de services et commerçants. Sur une base annuelle, le climat des affaires s’est détérioré de 1,9 point, en décembre 2020.
Dans l’industrie, ajoute la même source, les difficultés de recouvrement des créances (41%), l’approvisionnement difficile en matières premières (36%), l’insuffisance de la demande (36%) et la concurrence supposée déloyale (27%) ont, majoritairement, constitué les principales contraintes à l’activité. Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-1,3 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet du pessimisme des chefs d’entreprise enquêtés quant aux perspectives de production.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au foncier (67%) et les difficultés de recouvrement des créances (60%). En outre, le climat des affaires s’est affaissé (-2,7 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes privées. Le pessimisme des entrepreneurs quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) a, aussi, participé à la régression de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (57%), la concurrence jugée déloyale (43%), la fiscalité (43%) et l’insuffisance de la demande (29%) comme principales entraves à l’activité, en décembre 2020. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+3,4 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit l’optimisme des enquêtés quant aux perspectives de chiffre d’affaires, de commandes et de tarifs pratiqués.
S’agissant du commerce, la Dpee souligne que la concurrence jugée déloyale (75%), la fiscalité (50%) et les difficultés de recouvrement des créances (50%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en décembre 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est affiché plus reluisant (+2,2 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires et aux commandes. L’optimisme des interrogés, quant aux perspectives de commandes, a aussi contribué à la progression de l’indicateur du sous-secteur.
Adou FAYE
Dans l’industrie, ajoute la même source, les difficultés de recouvrement des créances (41%), l’approvisionnement difficile en matières premières (36%), l’insuffisance de la demande (36%) et la concurrence supposée déloyale (27%) ont, majoritairement, constitué les principales contraintes à l’activité. Par ailleurs, le climat des affaires s’est dégradé (-1,3 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet du pessimisme des chefs d’entreprise enquêtés quant aux perspectives de production.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les contraintes les plus citées par les entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au foncier (67%) et les difficultés de recouvrement des créances (60%). En outre, le climat des affaires s’est affaissé (-2,7 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs à l’activité générale et aux commandes privées. Le pessimisme des entrepreneurs quant aux perspectives de commandes (publiques et privées) a, aussi, participé à la régression de l’indicateur du sous-secteur.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (57%), la concurrence jugée déloyale (43%), la fiscalité (43%) et l’insuffisance de la demande (29%) comme principales entraves à l’activité, en décembre 2020. Néanmoins, le climat des affaires s’est renforcé (+3,4 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. Cette situation traduit l’optimisme des enquêtés quant aux perspectives de chiffre d’affaires, de commandes et de tarifs pratiqués.
S’agissant du commerce, la Dpee souligne que la concurrence jugée déloyale (75%), la fiscalité (50%) et les difficultés de recouvrement des créances (50%) sont les contraintes à l’activité les plus évoquées par les interviewés, en décembre 2020. Toutefois, le climat des affaires s’est affiché plus reluisant (+2,2 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations positives des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires et aux commandes. L’optimisme des interrogés, quant aux perspectives de commandes, a aussi contribué à la progression de l’indicateur du sous-secteur.
Adou FAYE