
Il rappelle au cours d’une conférence de presse axée sur la loi de finances 2016, qu'en 1960, le budget du Sénégal était de 19 milliards de FCFA, 2344 milliards de FCFA en 2012, soit une progression en 2016 de 678,398 milliards en valeur relative et 28,94% en valeur relative.
Selon lui , il s'agit là d'un bon à la fois qualitatif et quantitatif qui témoigne encore une fois de la bonne santé de l’économie sénégalaise et de la bonne tenue des finances publiques.
Il souligne que 58 % des ressources internes sont consacrées au budget d`investissement contre 42% de ressources extérieures, alors que jusqu'en 2000, les proportions étaient inversées, soit seulement 22% de ressources internes et le reste, 78% provenait des ressources extérieures.
Aujourd'hui, nous empruntons moins qu'avant, grâce à la rigueur dans la gestion des finances publiques mais surtout à la stratégie de reprofilage de la dette mise en œuvre depuis 2012 a-t-il précisé. Il ajoute que le montant de la dette va baisser de 2 milliards en 2016, de même que le service de la dette.
Si le budget de 2014 et particulièrement celui de 2015 ont servi à jeter les bases du redressement économique du Sénégal, la loi de finances de 2016 a pour ambition de faire ressortir les effets positifs du Plan Sénégal Emergent, a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kebe
Selon lui , il s'agit là d'un bon à la fois qualitatif et quantitatif qui témoigne encore une fois de la bonne santé de l’économie sénégalaise et de la bonne tenue des finances publiques.
Il souligne que 58 % des ressources internes sont consacrées au budget d`investissement contre 42% de ressources extérieures, alors que jusqu'en 2000, les proportions étaient inversées, soit seulement 22% de ressources internes et le reste, 78% provenait des ressources extérieures.
Aujourd'hui, nous empruntons moins qu'avant, grâce à la rigueur dans la gestion des finances publiques mais surtout à la stratégie de reprofilage de la dette mise en œuvre depuis 2012 a-t-il précisé. Il ajoute que le montant de la dette va baisser de 2 milliards en 2016, de même que le service de la dette.
Si le budget de 2014 et particulièrement celui de 2015 ont servi à jeter les bases du redressement économique du Sénégal, la loi de finances de 2016 a pour ambition de faire ressortir les effets positifs du Plan Sénégal Emergent, a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kebe