
Cette performance est imputable aux activités extractives (18,5% contre -16,2% en 2016), à la construction (14,7% contre 5,6% en 2016), à la distribution de l’eau, assainissement et traitement des déchets (6,1% contre 3,0% en 2016), et à l’activité de fabrication des autres produits manufacturiers (5,9% contre 5,2% en 2016).
Ces sous-secteurs cités ci-avant, concourent respectivement à la croissance du PIB en 2017 de 0,4 point (après -0,4 point en 2016), 0,4 point (après 0,1 point en 2016), 0,1 point (après 0,03 point en 2016) et 0,4 point (après 0,3 point en 2016).
Le bon comportement des activités extractives est consécutif à la bonne tenue de la production de l’or (+14%), du zircon et du titane (+55%), et de services de soutien aux industries extractives pour la prospection minière (+82,9%).
La vigueur des activités de construction est impulsée par la mise en œuvre de nombreux projets dans le domaine des infrastructures de transport (Autoroute Ila Touba, prolongement de la VDN, Train Express Régional (TER), etc.) et de l’hydraulique.
En revanche, le rythme de croissance du secondaire est atténué par les activités des sous-secteurs du raffinage du pétrole et cokéfaction (3,4%, après 5,2% en 2016), de la fabrication des produits chimiques de base (3,6%, après 21,5% en 2016) et de la fabrication de produits agroalimentaires (4,7%, après 5,6% en 2016).
Adou FAYE
Ces sous-secteurs cités ci-avant, concourent respectivement à la croissance du PIB en 2017 de 0,4 point (après -0,4 point en 2016), 0,4 point (après 0,1 point en 2016), 0,1 point (après 0,03 point en 2016) et 0,4 point (après 0,3 point en 2016).
Le bon comportement des activités extractives est consécutif à la bonne tenue de la production de l’or (+14%), du zircon et du titane (+55%), et de services de soutien aux industries extractives pour la prospection minière (+82,9%).
La vigueur des activités de construction est impulsée par la mise en œuvre de nombreux projets dans le domaine des infrastructures de transport (Autoroute Ila Touba, prolongement de la VDN, Train Express Régional (TER), etc.) et de l’hydraulique.
En revanche, le rythme de croissance du secondaire est atténué par les activités des sous-secteurs du raffinage du pétrole et cokéfaction (3,4%, après 5,2% en 2016), de la fabrication des produits chimiques de base (3,6%, après 21,5% en 2016) et de la fabrication de produits agroalimentaires (4,7%, après 5,6% en 2016).
Adou FAYE