
Selon M. Bakary Seydi, responsable de la communication et de l’information du CEDES, les petites entreprises, les micro entreprises et les très petites entreprises ont jusqu’ici été les laissés pour compte des services publics d’appui, de conseil et d’encadrement. « Cette situation qui perdure, ajoute-t-il, a amené un groupe de chefs d’entreprises jeunes à mettre en place ce cadre fédérateur qu’est le CEDES pour prendre en charge leurs besoins spécifiques, les aider à s’inscrire dans une dynamique de croissance créatrice de richesse et d’emplois durables ». Dans son rôle de conseil, le CEDES compte lancer bientôt son « Centre d’intelligence économique » pour apporter une réponse au problème de circulation de l’information sur les acquis de la recherche agroalimentaire. Cette organisation patronale projette également de mettre en place une « Maison de l’entreprise », calquée sur le modèle Burkinabé, qui a permis au Burkina Faso de réaliser un bond significatif dans le classement du Doing Business.
« Ces deux projets phares du CEDES visent à créer des interfaces nécessaires à la rationalisation des interventions étatiques, afin de les rendre plus efficaces, avec comme résultat une amélioration d’au moins 50% des performances des structures étatiques de soutien aux TPME et un accroissement des services rendus par les structures étatiques ».
El Hadj Diakhaté
« Ces deux projets phares du CEDES visent à créer des interfaces nécessaires à la rationalisation des interventions étatiques, afin de les rendre plus efficaces, avec comme résultat une amélioration d’au moins 50% des performances des structures étatiques de soutien aux TPME et un accroissement des services rendus par les structures étatiques ».
El Hadj Diakhaté