Ce projet d’une durée de trois années couvre les départements de Saint-Louis et de Dagana. D'un coût global de 500 millions de francs CFA, ce programme vise à répondre aux besoins des micro et petites entreprises para-agricoles identifiées comme porteuses, selon un document de présentation remis à la presse.
L’ADETER, qui cherche aussi à favoriser l’accès des jeunes à la formation et à l’emploi, vise à renforcer les compétences des formatrices et formateurs des femmes transformatrices et des artisans, selon le texte.
Le projet cible notamment 80 jeunes, 20 Groupements d’intérêt économique (GIE) de femmes formatrices, 55 maîtres-artisans, etc. ‘’C’est un projet extrêmement important, parce que tout simplement il y a beaucoup de jeunes qui ne sont pas dans le système éducatif et qui sont demandeurs de métiers nouveaux’’, a jugé Mamadou Talla.
Selon lui, la tendance au niveau de son département est au ‘’déploiement massif de jeunes apprentis et pour cela les centres de formation ainsi que les ateliers et centres de ressources seront mis à contribution’’.
‘’Les lycées techniques aussi ne seront plus fermés et seront ouverts aux techniciens (…). Tous ces apprentis qui vont être formés créeront leur propre entreprise’’, a lancé M. Talla.
Il a aussi loué le partenariat noué avec l’Agence française de développement (AFD) qui a financé ce programme.
APS
L’ADETER, qui cherche aussi à favoriser l’accès des jeunes à la formation et à l’emploi, vise à renforcer les compétences des formatrices et formateurs des femmes transformatrices et des artisans, selon le texte.
Le projet cible notamment 80 jeunes, 20 Groupements d’intérêt économique (GIE) de femmes formatrices, 55 maîtres-artisans, etc. ‘’C’est un projet extrêmement important, parce que tout simplement il y a beaucoup de jeunes qui ne sont pas dans le système éducatif et qui sont demandeurs de métiers nouveaux’’, a jugé Mamadou Talla.
Selon lui, la tendance au niveau de son département est au ‘’déploiement massif de jeunes apprentis et pour cela les centres de formation ainsi que les ateliers et centres de ressources seront mis à contribution’’.
‘’Les lycées techniques aussi ne seront plus fermés et seront ouverts aux techniciens (…). Tous ces apprentis qui vont être formés créeront leur propre entreprise’’, a lancé M. Talla.
Il a aussi loué le partenariat noué avec l’Agence française de développement (AFD) qui a financé ce programme.
APS