chroniques
''Le PRACAS est réaliste et réalisable à condition qu’il y ait la contribution de tout le monde. Parce qu’en réalité, il faut une agrégation de toutes les compétences, de tous les efforts, de tous les segments de la société, de tous les partenaires, pour construire une agriculture forte dans cette dynamique’’, a-t-il dit.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural s’exprimait à la sortie d’une concertation avec les partenaires techniques et financiers au Sénégal sur le PRACAS. Le chef de la délégation de l’Union européenne Dominique Dellicour et le représentant de la FAO, Vincent Martin, ont assisté à la rencontre.
M. Seck a déclaré qu'il partait de cette rencontre avec une appréciation '''positive'' des bailleurs.
''On fera tout pour ne pas vous décevoir, pour que notre agriculture connaisse une véritable métamorphose positive et durable’’, a dit le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural.
Il a souligné que le PRACAS doit être perçu comme ''un cadre pour la mise en œuvre du PSE''.
''Nous avons une ambition forte, constamment revigorée. Le Sénégal doit absolument nourrir le Sénégal et doit tirer de ses avantages comparatifs et nourrir le monde’’, a soutenu M. Seck.
En outre, il a plaidé pour une mise en œuvre effective du PRACAS pour que le Sénégal puisse assurer une autosuffisance en riz en 2017 par la production de plus de 1,600 million de tonnes de riz blanc.
Sur cette lancée, Papa Abdoulaye Seck souhaite que le Sénégal puisse atteindre une autosuffisance en oignon par la production 350.000 tonnes
De leur côté le chef de la délégation de l’Union européenne et le représentant de la FAO ont vanté les qualités du PRACAS qui a fait l’objet d’une concentration soutenue entre l’Etat, les partenaires techniques et financiers et la société civile.
''Pour qu'une agriculture moderne puisse se développer, il est important que la question du foncier soit résolue. Il faut que la commission de réforme du foncier vienne avec des propositions concrètes qui permettent de combiner à la fois l’investissement du secteur privé et la protection des exploitations familiales’’, a dit Dominique Dellicour.
Le PROCAS est un programme ''évolutif et dynamique’’ pour lequel l’UE va contribuer à la réalisation, a t-elle ajouté.
''Le PRACAS est un programme de grande valeur qui montre la voie pour le développement de l’agriculture sénégalaise. Il est aussi une boussole pour les partenaires techniques et financiers pour focaliser l’aide publique au développement et l’investissement du secteur privé'', a souligné, pour sa part, Vincent Martin..
''Il permettra la mise en cohérence des activités dans le domaine de l’agriculture’’, a ajouté M. Martin.
APS
Le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural s’exprimait à la sortie d’une concertation avec les partenaires techniques et financiers au Sénégal sur le PRACAS. Le chef de la délégation de l’Union européenne Dominique Dellicour et le représentant de la FAO, Vincent Martin, ont assisté à la rencontre.
M. Seck a déclaré qu'il partait de cette rencontre avec une appréciation '''positive'' des bailleurs.
''On fera tout pour ne pas vous décevoir, pour que notre agriculture connaisse une véritable métamorphose positive et durable’’, a dit le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural.
Il a souligné que le PRACAS doit être perçu comme ''un cadre pour la mise en œuvre du PSE''.
''Nous avons une ambition forte, constamment revigorée. Le Sénégal doit absolument nourrir le Sénégal et doit tirer de ses avantages comparatifs et nourrir le monde’’, a soutenu M. Seck.
En outre, il a plaidé pour une mise en œuvre effective du PRACAS pour que le Sénégal puisse assurer une autosuffisance en riz en 2017 par la production de plus de 1,600 million de tonnes de riz blanc.
Sur cette lancée, Papa Abdoulaye Seck souhaite que le Sénégal puisse atteindre une autosuffisance en oignon par la production 350.000 tonnes
De leur côté le chef de la délégation de l’Union européenne et le représentant de la FAO ont vanté les qualités du PRACAS qui a fait l’objet d’une concentration soutenue entre l’Etat, les partenaires techniques et financiers et la société civile.
''Pour qu'une agriculture moderne puisse se développer, il est important que la question du foncier soit résolue. Il faut que la commission de réforme du foncier vienne avec des propositions concrètes qui permettent de combiner à la fois l’investissement du secteur privé et la protection des exploitations familiales’’, a dit Dominique Dellicour.
Le PROCAS est un programme ''évolutif et dynamique’’ pour lequel l’UE va contribuer à la réalisation, a t-elle ajouté.
''Le PRACAS est un programme de grande valeur qui montre la voie pour le développement de l’agriculture sénégalaise. Il est aussi une boussole pour les partenaires techniques et financiers pour focaliser l’aide publique au développement et l’investissement du secteur privé'', a souligné, pour sa part, Vincent Martin..
''Il permettra la mise en cohérence des activités dans le domaine de l’agriculture’’, a ajouté M. Martin.
APS
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