
‘’La disponibilité du médicament est effective, d’autant plus que les pharmacies on les trouve presque partout au Sénégal’’, a expliqué le lieutenant-colonel Dièye, en marge de la clôture d’un atelier de deux jours destiné à la validation du document de politique pharmaceutique nationale.
D’après le professeur Dièye, cette rencontre a permis de discuter des points forts de la pharmacie, mais également et surtout de ses points faibles. ‘’Nous avons parlé de la vision de la politique pharmaceutique, de ses objectifs et des stratégies pour sa mise en œuvre'', a-t-il précisé.
Le secteur public comprend la Pharmacie nationale d'approvisionnement (PNA) avec des pharmacies régionales d’approvisionnement (PRA) comme points d'appui au niveau des régions. Une pharmacie mobile d'approvisionnement qui dessert les régions ne disposant pas de PRA vient appui de ce dispositif.
Il a insisté sur la nécessité de poursuivre la promotion des médicaments génériques qui se fait depuis quelques années. ‘’Nous avons constaté avec la promotion des médicaments génériques une diminution de prix variant entre 15 et 80%’’, a-t-il dit.
‘’Grâce à cette politique des médicaments génériques, nous avons pu engendrer, sur plus de 200 molécules, une diminution moyenne de 40 %, et nous allons l’accentuer’’, a promis le professeur Amadou Moctar Dièye.
Il a toutefois déploré le fait que beaucoup de pharmaciens diplômés ne parviennent pas à avoir l’autorisation d’ouvrir une pharmacie à la fin de leurs études.
‘’Nous avons des préoccupations par rapport à la forte demande émanant des pharmaciens qui viennent juste de sortir, et à ce niveau, nous suggérons un recrutement important de ces pharmaciens dans le secteur public’’, a-t-il plaidé.
‘’Il n’y a pas assez de pharmaciens publics dans les régions, et nous souhaiterions que, dans chaque région, il y en ait de même dans chaque district sanitaire’’, a martelé le directeur de la pharmacie et du médicament.
Il a salué les efforts qui sont faits jusqu’ici, prônant davantage d’efforts pour permettre au système de santé de disposer d’un pharmacien dans chaque région, et au-delà, au niveau de chaque district sanitaire.
Revenant sur le document de politique nationale pharmaceutique qui a suscité cette rencontre, il a souligné qu’il a été validé et amendé ce mardi. ‘’Nous allons le soumettre pour adoption aux autorités sanitaires’’, a-t-il conclu.
APS
D’après le professeur Dièye, cette rencontre a permis de discuter des points forts de la pharmacie, mais également et surtout de ses points faibles. ‘’Nous avons parlé de la vision de la politique pharmaceutique, de ses objectifs et des stratégies pour sa mise en œuvre'', a-t-il précisé.
Le secteur public comprend la Pharmacie nationale d'approvisionnement (PNA) avec des pharmacies régionales d’approvisionnement (PRA) comme points d'appui au niveau des régions. Une pharmacie mobile d'approvisionnement qui dessert les régions ne disposant pas de PRA vient appui de ce dispositif.
Il a insisté sur la nécessité de poursuivre la promotion des médicaments génériques qui se fait depuis quelques années. ‘’Nous avons constaté avec la promotion des médicaments génériques une diminution de prix variant entre 15 et 80%’’, a-t-il dit.
‘’Grâce à cette politique des médicaments génériques, nous avons pu engendrer, sur plus de 200 molécules, une diminution moyenne de 40 %, et nous allons l’accentuer’’, a promis le professeur Amadou Moctar Dièye.
Il a toutefois déploré le fait que beaucoup de pharmaciens diplômés ne parviennent pas à avoir l’autorisation d’ouvrir une pharmacie à la fin de leurs études.
‘’Nous avons des préoccupations par rapport à la forte demande émanant des pharmaciens qui viennent juste de sortir, et à ce niveau, nous suggérons un recrutement important de ces pharmaciens dans le secteur public’’, a-t-il plaidé.
‘’Il n’y a pas assez de pharmaciens publics dans les régions, et nous souhaiterions que, dans chaque région, il y en ait de même dans chaque district sanitaire’’, a martelé le directeur de la pharmacie et du médicament.
Il a salué les efforts qui sont faits jusqu’ici, prônant davantage d’efforts pour permettre au système de santé de disposer d’un pharmacien dans chaque région, et au-delà, au niveau de chaque district sanitaire.
Revenant sur le document de politique nationale pharmaceutique qui a suscité cette rencontre, il a souligné qu’il a été validé et amendé ce mardi. ‘’Nous allons le soumettre pour adoption aux autorités sanitaires’’, a-t-il conclu.
APS