
Selon Mme Thebaud, "(...) beaucoup d'actions et d'efforts sont encore nécessaires, car tous les enfants ne vont pas à l'école, c'est ce que nous dit le dernier recensement scolaire, car nous n'avons que 65,9 % des enfants à l'école, c'est à dire que l'achèvement du primaire reste encore à améliorer", a-t-elle déclaré.
Elle s'exprimait à l'ouverture de la revue semestrielle du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) qui a publié un rapport sur la situation des enfants au Sénégal.
Dans ce document, l'organisation onusienne a rappelé les progrès réenregistrés au cours de ce premier semestre dans la mise en œuvre du plan de travail pour le développement de la petite enfance. L'étude se rapporte également sur les menaces en milieu scolaire.
De l'avis de Mme Thebaud, "il suffit de regarder dans les rues de Dakar et dans les autres villes du pays pour se rendre compte qu'il y a encore beaucoup d'enfants qui circulent dans les rues et s'exercent à la mendicité, alors que leur place est à l'école".
De même, les résultats du Certificat du de fin d'études élémentaires (CFEE) de 2013 interpellent "avec un taux de réussite national de 33,8%'', ce qui doit inviter "à une profonde réflexion" sur les performances des élèves et "peut être aussi sur la qualité de l'évaluation de la performance".
Elle a insisté sur des questions stratégiques qu'il faut considérer comme celles concernant la manière dont les ressources financières investies se traduisent en résultats pour améliorer l'éducation des enfants les plus démunis.
"Lorsque qu'une formation ou un atelier a lieu pour renforcer les capacités institutionnelles de nos partenaires, il est important de s'interroger sur le bénéfice que les enfants vont en tirer dans les écoles et comment cela va améliorer leurs acquis scolaire", a-t-elle indiqué.
La représentante de l'UNICEF s'est également demandé si les activités menées dans ce cadre sont efficaces et contribuent à améliorer les conditions d'apprentissage des élèves ciblés, en l'occurrence les enfants les plus vulnérables et les plus démunis.
Cette revue va aussi permettre selon elle d'aborder d'autres questions relatives aux assises nationales de l'éducation et à la revue du programme PAQUET (Programme d'amélioration de la qualité de l'équité et de la transparence).
Elle constitue aussi "une étape clé vers la prochaine revue à mi parcours de la coopération de l'UNICEF avec le gouvernement du Sénégal, couvrant la période 2012-2016 et qui aura lieu en novembre prochain", a-t-elle ajouté.
APS
Elle s'exprimait à l'ouverture de la revue semestrielle du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) qui a publié un rapport sur la situation des enfants au Sénégal.
Dans ce document, l'organisation onusienne a rappelé les progrès réenregistrés au cours de ce premier semestre dans la mise en œuvre du plan de travail pour le développement de la petite enfance. L'étude se rapporte également sur les menaces en milieu scolaire.
De l'avis de Mme Thebaud, "il suffit de regarder dans les rues de Dakar et dans les autres villes du pays pour se rendre compte qu'il y a encore beaucoup d'enfants qui circulent dans les rues et s'exercent à la mendicité, alors que leur place est à l'école".
De même, les résultats du Certificat du de fin d'études élémentaires (CFEE) de 2013 interpellent "avec un taux de réussite national de 33,8%'', ce qui doit inviter "à une profonde réflexion" sur les performances des élèves et "peut être aussi sur la qualité de l'évaluation de la performance".
Elle a insisté sur des questions stratégiques qu'il faut considérer comme celles concernant la manière dont les ressources financières investies se traduisent en résultats pour améliorer l'éducation des enfants les plus démunis.
"Lorsque qu'une formation ou un atelier a lieu pour renforcer les capacités institutionnelles de nos partenaires, il est important de s'interroger sur le bénéfice que les enfants vont en tirer dans les écoles et comment cela va améliorer leurs acquis scolaire", a-t-elle indiqué.
La représentante de l'UNICEF s'est également demandé si les activités menées dans ce cadre sont efficaces et contribuent à améliorer les conditions d'apprentissage des élèves ciblés, en l'occurrence les enfants les plus vulnérables et les plus démunis.
Cette revue va aussi permettre selon elle d'aborder d'autres questions relatives aux assises nationales de l'éducation et à la revue du programme PAQUET (Programme d'amélioration de la qualité de l'équité et de la transparence).
Elle constitue aussi "une étape clé vers la prochaine revue à mi parcours de la coopération de l'UNICEF avec le gouvernement du Sénégal, couvrant la période 2012-2016 et qui aura lieu en novembre prochain", a-t-elle ajouté.
APS