chroniques
Après la signature, le 28 novembre 2013, de la convention de concession du terminal roulier El Hadji Malick Sy (Ex Môle 2) du port autonome de Dakar, Dakar Terminal, filiale de Bolloré Africa Logistics, a lancé hier les travaux d’aménagement et de réhabilitation des terre-pleins de 27 mille m2 et réseaux électriques du terminal Roro. Estimés globalement à plus de 64 milliards de francs Cfa, dont 12,5 milliards sur la période 2014/2017, ces investissements, qui doivent doter la place portuaire de Dakar d’un des terminaux rouliers les plus performants d’Afrique de l’ouest, devraient également contribuer à baisser les coûts jugés élevés en Afrique de l’ouest. «Ces investissements ne seront une réussite que s’ils nous permettent de satisfaire nos clients en termes de qualité de service mais aussi de coûts. Nous surveillons les indicateurs de coûts pour, autant que faire se peut, être le port le moins cher de la côte ouest africaine», indique Dr Cheikh Kanté.
Mais pour Philippe Labonne, Directeur général de Bolloré Africa Logistics, en matière de logistique, il y a le coût de l’opération elle-même mais également d’autres critères. Il souligne que les tarifs sont encadrés de manière à rester dans les limites du raisonnable. Il soutient, en outre, que compétitivité rime avec attractivité qui permet d’attirer des navires importants et de traiter plusieurs navires en même temps. Ce qui peut, à son avis, accroître la concurrence des opérateurs maritimes qui vont vouloir venir à Dakar et contribuer à diminuer les taux de fret. «Quand nous réussirons à faire de Dakar un hub, les trafics destinaient au Sénégal et au Mali vont attirer des navires beaucoup plus gros et permettre de faire des économies d’échelle très importantes», soutient M. Labonne.
Ayant officiellement démarré ses activités le 31 mars 2014, Dakar Terminal a traité, en neuf mois, 223 navires RoRo et Car Carrier, chargeant et déchargeant 35 mille véhicules, camions et engins lourds. Il a également manipulé 34 mille tonnes de marchandises conventionnelles et manutentionné 35 mille conteneurs équivalent 20 pieds. «Notre ambition est de faire du terminal roulier El Hadji Malick Sy une plateforme opérationnelle dynamique, moderne et compétitive en Afrique de l’ouest et connectée au continent américain et européen. En investissant à Dakar dans des compétences humaines reconnues partout dans le monde, le groupe Bolloré réaffirme un peu plus son attachement au pays de la Téranga», a déclaré Christophe Pujalte, directeur régional de Bolloré Africa Logistics.
«Nous redevenons un acteurs portuaires au Sénégal et nous espérons renforcer cette position au Sénégal et montrer notre savoir-faire et notre expertise. Le groupe a un ancrage social au Sénégal. Nous aurons à cœur de démonter que le choix qui a été fait sur nous a été le bon. Le Groupe Bolloré arrivera à relever les défis de la fluidité, de la modernisation et entend jouer totalement sa partition dans le cadre du Plan Sénégal Emergent», ajoute Mamadou Racine Sy, Président du Conseil d’administration de Bolloré Africa Logistics Sénégal.
http://www.walf-groupe.com
Mais pour Philippe Labonne, Directeur général de Bolloré Africa Logistics, en matière de logistique, il y a le coût de l’opération elle-même mais également d’autres critères. Il souligne que les tarifs sont encadrés de manière à rester dans les limites du raisonnable. Il soutient, en outre, que compétitivité rime avec attractivité qui permet d’attirer des navires importants et de traiter plusieurs navires en même temps. Ce qui peut, à son avis, accroître la concurrence des opérateurs maritimes qui vont vouloir venir à Dakar et contribuer à diminuer les taux de fret. «Quand nous réussirons à faire de Dakar un hub, les trafics destinaient au Sénégal et au Mali vont attirer des navires beaucoup plus gros et permettre de faire des économies d’échelle très importantes», soutient M. Labonne.
Ayant officiellement démarré ses activités le 31 mars 2014, Dakar Terminal a traité, en neuf mois, 223 navires RoRo et Car Carrier, chargeant et déchargeant 35 mille véhicules, camions et engins lourds. Il a également manipulé 34 mille tonnes de marchandises conventionnelles et manutentionné 35 mille conteneurs équivalent 20 pieds. «Notre ambition est de faire du terminal roulier El Hadji Malick Sy une plateforme opérationnelle dynamique, moderne et compétitive en Afrique de l’ouest et connectée au continent américain et européen. En investissant à Dakar dans des compétences humaines reconnues partout dans le monde, le groupe Bolloré réaffirme un peu plus son attachement au pays de la Téranga», a déclaré Christophe Pujalte, directeur régional de Bolloré Africa Logistics.
«Nous redevenons un acteurs portuaires au Sénégal et nous espérons renforcer cette position au Sénégal et montrer notre savoir-faire et notre expertise. Le groupe a un ancrage social au Sénégal. Nous aurons à cœur de démonter que le choix qui a été fait sur nous a été le bon. Le Groupe Bolloré arrivera à relever les défis de la fluidité, de la modernisation et entend jouer totalement sa partition dans le cadre du Plan Sénégal Emergent», ajoute Mamadou Racine Sy, Président du Conseil d’administration de Bolloré Africa Logistics Sénégal.
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