
Le protocole d’accord vise à renforcer l’autonomisation économique des femmes à travers la facilitation de l’accès aux financements et aux opportunités économiques.
«Ce protocole d’accord vient consolider la collaboration qui existe entre les deux entités depuis 2018 autour des axes suivants : l’appui au renforcement des capacités financières et techniques des femmes entrepreneures, la facilitation de l’accès à des lignes de crédit pour l’autonomisation des femmes, et la participation à la gouvernance du Projet d’appui aux femmes dans l’agriculture et le développement durable (Paf/Agrifed) », renseigne un communiqué de presse.
L’accès au financement reste un obstacle majeur pour les femmes porteuses de projets et constitue un frein à la promotion de l’entreprenariat féminin. Les femmes entrepreneures et celles qui désirent entreprendre sont confrontées à l’inadéquation de l’offre de financements proposée par rapport à leurs besoins réels, la pratique de taux d’intérêt élevés et la demande de garanties soutenues.
La Der/Fj a pu, dans son intervention, commencer à apporter des solutions à cette problématique en contribuant à l’autonomisation économique de milliers de femmes à travers son guichet pour l’autonomisation économique (74,8% d’un total de 68.289 bénéficiaires de ce guichet dédié étaient des femmes la fin de l’année 2019).
Dans une dynamique conjointe afin de remédier à cette situation, la Der/Fj a également soutenu en 2019 les initiatives d’Onu Femmes dans le nord du Sénégal en apportant un concours financier aux projets portés par les femmes productrices de riz bénéficiaires du projet Paf/AgriFed.
« Dans le cadre de la relance économique post Covid-19, il est essentiel que les femmes bénéficient de financements et d’accompagnements adéquats. Notre partenariat stratégique avec la Der vise les femmes entrepreneures qui sont un moteur de croissance. Nous travaillons avec la Der en synergie pour promouvoir une autonomisation durable des femmes sénégalaises à travers des filières porteuses. », a commenté Oulimata Sarr, directrice régionale d’Onu Femmes Afrique de l’Ouest et du Centre.
« La collaboration entre Onu Femmes et la Der/Fj existe depuis 2018 et est donc antérieure au protocole d’accord dont il est question avec à sa clé des financements au profit de femmes dans la filière riz au niveau de la vallée du fleuve Sénégal. Ainsi, la Der se retrouve parfaitement dans la mission de Onu Femmes car étant au cœur de l’autonomisation des femmes qui sont le socle de notre société. Dans ce contexte particulier de la crise du Covid-19, il était important de catalyser nos forces pour davantage renforcer leurs capacités dans un contexte où elles sont encore plus vulnérables », a confié Papa Amadou Sarr, Délégué général de la Der/Fj.
Dans le cadre de la mise en œuvre du présent protocole, Onu Femmes et la Der identifieront les organisations de femmes porteuses de projets et ayant des besoins de financements dans les secteurs de l’agriculture résiliente aux changements climatiques, les énergies renouvelables, l’élevage et l’artisanat. L’appui financier aux projets sélectionnés permettra de prendre en charge les besoins en fonds de roulement, en achat de matériel d’exploitation et en activités de commercialisation.
Adou FAYE
«Ce protocole d’accord vient consolider la collaboration qui existe entre les deux entités depuis 2018 autour des axes suivants : l’appui au renforcement des capacités financières et techniques des femmes entrepreneures, la facilitation de l’accès à des lignes de crédit pour l’autonomisation des femmes, et la participation à la gouvernance du Projet d’appui aux femmes dans l’agriculture et le développement durable (Paf/Agrifed) », renseigne un communiqué de presse.
L’accès au financement reste un obstacle majeur pour les femmes porteuses de projets et constitue un frein à la promotion de l’entreprenariat féminin. Les femmes entrepreneures et celles qui désirent entreprendre sont confrontées à l’inadéquation de l’offre de financements proposée par rapport à leurs besoins réels, la pratique de taux d’intérêt élevés et la demande de garanties soutenues.
La Der/Fj a pu, dans son intervention, commencer à apporter des solutions à cette problématique en contribuant à l’autonomisation économique de milliers de femmes à travers son guichet pour l’autonomisation économique (74,8% d’un total de 68.289 bénéficiaires de ce guichet dédié étaient des femmes la fin de l’année 2019).
Dans une dynamique conjointe afin de remédier à cette situation, la Der/Fj a également soutenu en 2019 les initiatives d’Onu Femmes dans le nord du Sénégal en apportant un concours financier aux projets portés par les femmes productrices de riz bénéficiaires du projet Paf/AgriFed.
« Dans le cadre de la relance économique post Covid-19, il est essentiel que les femmes bénéficient de financements et d’accompagnements adéquats. Notre partenariat stratégique avec la Der vise les femmes entrepreneures qui sont un moteur de croissance. Nous travaillons avec la Der en synergie pour promouvoir une autonomisation durable des femmes sénégalaises à travers des filières porteuses. », a commenté Oulimata Sarr, directrice régionale d’Onu Femmes Afrique de l’Ouest et du Centre.
« La collaboration entre Onu Femmes et la Der/Fj existe depuis 2018 et est donc antérieure au protocole d’accord dont il est question avec à sa clé des financements au profit de femmes dans la filière riz au niveau de la vallée du fleuve Sénégal. Ainsi, la Der se retrouve parfaitement dans la mission de Onu Femmes car étant au cœur de l’autonomisation des femmes qui sont le socle de notre société. Dans ce contexte particulier de la crise du Covid-19, il était important de catalyser nos forces pour davantage renforcer leurs capacités dans un contexte où elles sont encore plus vulnérables », a confié Papa Amadou Sarr, Délégué général de la Der/Fj.
Dans le cadre de la mise en œuvre du présent protocole, Onu Femmes et la Der identifieront les organisations de femmes porteuses de projets et ayant des besoins de financements dans les secteurs de l’agriculture résiliente aux changements climatiques, les énergies renouvelables, l’élevage et l’artisanat. L’appui financier aux projets sélectionnés permettra de prendre en charge les besoins en fonds de roulement, en achat de matériel d’exploitation et en activités de commercialisation.
Adou FAYE