Selon lui, chaque structure fait la qualité à sa façon et finalement il existe une multiplication d’intervenants en partenaire technique et financier qui va dans tous les sens, d’où l’absence de mutualisation ce qui rend difficile la plus-value.
Il s’exprimait au terme d’un atelier de formation des professionnels de la communication sur les concepts de qualité. Un atelier qui s’inscrit dans le cadre du programme système qualité de l’Afrique de l’Ouest visant la CEDEAO financé par L’Union Européenne et exécuté par l’organisation des nations unies pour l’industrie (ONUDI).
La politique qualité amènerait à mettre en cohérence cette infrastructure de la qualité d’une part mais également à définir une règlementation adéquate conforme aux exigences de l’heure pour pouvoir encadrer cette activité économique et la protection des consommateurs, a-t-il expliqué.
M. Baro fait savoir que la plupart des textes qui régissent l’activité économique sont caduques, ils datent depuis les indépendances alors qu’il y’a beaucoup de mutations car même les textes de bases sur lesquels s’est inspiré le Sénégal à savoir la réglementation française a connu beaucoup d’évolution.
Ainsi, il renseigne que des structures avec des experts juristes confirmés existent, d’où le moment de faire le toilettage des textes adaptés aux contingences de l’heure afin d’être au diapason de la validation du « made in Sénégal ».
Le responsable de la cellule technique de coordination nationale du programme système qualité de l’Afrique de l’ouest, déplore par ailleurs que celle-ci ne saurait se faire sans cette infrastructure de qualité pour prouver la conformité sinon cela va être une appellation d’origine afin de savoir que ce produit est fait au Sénégal sans pour autant prouver la qualité.
S’agissant de la communication, Aboubacry Baro pense que les professionnels de la communication devraient servir de relais entre les structures techniques et la population pour porter le bon message et développer des stratégies en termes de communication envers des masses afin de créer une culture de la qualité.
Ndeye Maguette Kébé
Il s’exprimait au terme d’un atelier de formation des professionnels de la communication sur les concepts de qualité. Un atelier qui s’inscrit dans le cadre du programme système qualité de l’Afrique de l’Ouest visant la CEDEAO financé par L’Union Européenne et exécuté par l’organisation des nations unies pour l’industrie (ONUDI).
La politique qualité amènerait à mettre en cohérence cette infrastructure de la qualité d’une part mais également à définir une règlementation adéquate conforme aux exigences de l’heure pour pouvoir encadrer cette activité économique et la protection des consommateurs, a-t-il expliqué.
M. Baro fait savoir que la plupart des textes qui régissent l’activité économique sont caduques, ils datent depuis les indépendances alors qu’il y’a beaucoup de mutations car même les textes de bases sur lesquels s’est inspiré le Sénégal à savoir la réglementation française a connu beaucoup d’évolution.
Ainsi, il renseigne que des structures avec des experts juristes confirmés existent, d’où le moment de faire le toilettage des textes adaptés aux contingences de l’heure afin d’être au diapason de la validation du « made in Sénégal ».
Le responsable de la cellule technique de coordination nationale du programme système qualité de l’Afrique de l’ouest, déplore par ailleurs que celle-ci ne saurait se faire sans cette infrastructure de qualité pour prouver la conformité sinon cela va être une appellation d’origine afin de savoir que ce produit est fait au Sénégal sans pour autant prouver la qualité.
S’agissant de la communication, Aboubacry Baro pense que les professionnels de la communication devraient servir de relais entre les structures techniques et la population pour porter le bon message et développer des stratégies en termes de communication envers des masses afin de créer une culture de la qualité.
Ndeye Maguette Kébé