
Selon lui, cette enquête a aussi décelé que sur ces niveaux de couverture, le groupe le plus vulnérable représente plus de 50%. Et c `est une perspective assez intéressante pour voir comment renforcer davantage la communication sur le marketing social pour les produits enrichis mais aussi sur les aspects de protection sociale des couches vulnérables afin de les assurer une accessibilité à ces produits.
Il s’exprimait en marge d’un atelier de partage des résultats de l’évaluation du programme de renforcement de la fortification (PRF) alimentaire au Sénégal.
Pour rappel, ce programme a été financé pour cinq ans par l’Alliance Mondiale pour une meilleure nutrition (GAIN) une fondation suisse base à Genève, et le programme de Renforcement de la Fortification (PRF), de concert avec le comité sénégalais pour la fortification des aliments en micronutriment (COSFAM).
Ce programme de renforcement de fortification a pour principal objectif de contribuer à lutter contre les carences en fer et vitamine A, chez les femmes en âge de reproduction et les enfants de moins de 5 ans.
S’agissant du bilan du programme , le coordonnateur de la cellule a fait savoir qu’après cinq ans de mise en œuvre , ledit programme a délivré des résultats satisfaisants avec l’atteinte des objectifs par rapport à l’enrichissement de la farine en fer et l’enrichissement de l’huile produite et commercialisée au Sénégal en vitamine A .
Il poursuit que des études ont montré que des niveaux de pénétration de l’huile et de la farine fortifiés au niveau des ménages conduisent davantage à la réduction des carences en micronutriments au Sénégal.
Il souligne qu’une baisse de l’anémie, a été noté de 60% à 80% en dix ans, ce qui veut dire que les stratégies sont entrain de porter leurs fruits.
Actuellement le Sénégal est entrain d’élaborer un nouveau document de politique de nutrition ou le volet de lutte en carence de micronutriments occupe une place importante, a annoncé M. Ka.
C’est à l’étape du plan stratégique que l’on pourra réellement déterminer les aliments qui seront ciblés mais d’ici l’année prochaine en plus du sel qui est fortifié actuellement, de l’huile et de la farine, de nouveaux aliments véhiculés vont être fortifiés , a-t-il expliqué.
L’objectif est de toucher les couches les plus vulnérables, conclut le coordonnateur de la cellule de lutte contre la malnutrition.
Ndeye Maguette Kebe
Il s’exprimait en marge d’un atelier de partage des résultats de l’évaluation du programme de renforcement de la fortification (PRF) alimentaire au Sénégal.
Pour rappel, ce programme a été financé pour cinq ans par l’Alliance Mondiale pour une meilleure nutrition (GAIN) une fondation suisse base à Genève, et le programme de Renforcement de la Fortification (PRF), de concert avec le comité sénégalais pour la fortification des aliments en micronutriment (COSFAM).
Ce programme de renforcement de fortification a pour principal objectif de contribuer à lutter contre les carences en fer et vitamine A, chez les femmes en âge de reproduction et les enfants de moins de 5 ans.
S’agissant du bilan du programme , le coordonnateur de la cellule a fait savoir qu’après cinq ans de mise en œuvre , ledit programme a délivré des résultats satisfaisants avec l’atteinte des objectifs par rapport à l’enrichissement de la farine en fer et l’enrichissement de l’huile produite et commercialisée au Sénégal en vitamine A .
Il poursuit que des études ont montré que des niveaux de pénétration de l’huile et de la farine fortifiés au niveau des ménages conduisent davantage à la réduction des carences en micronutriments au Sénégal.
Il souligne qu’une baisse de l’anémie, a été noté de 60% à 80% en dix ans, ce qui veut dire que les stratégies sont entrain de porter leurs fruits.
Actuellement le Sénégal est entrain d’élaborer un nouveau document de politique de nutrition ou le volet de lutte en carence de micronutriments occupe une place importante, a annoncé M. Ka.
C’est à l’étape du plan stratégique que l’on pourra réellement déterminer les aliments qui seront ciblés mais d’ici l’année prochaine en plus du sel qui est fortifié actuellement, de l’huile et de la farine, de nouveaux aliments véhiculés vont être fortifiés , a-t-il expliqué.
L’objectif est de toucher les couches les plus vulnérables, conclut le coordonnateur de la cellule de lutte contre la malnutrition.
Ndeye Maguette Kebe