
De l’avis du ministre du commerce, dans le contexte national et international actuel marqué par la mondialisation des échanges et l’accroissement des exigences de qualité, de sécurité et de compétitivité des produits et services, « la nécessité de se doter d’un laboratoire performant et crédible, apte d’une part à accompagner les entreprises dans leur démarche qualité et d’autre part à assurer le service public de contrôle de la qualité et de la sécurité des produits, s’avère cruciale ». Alioune Sarr le ministre du commerce a signalé aux députés que le statut actuel du laboratoire de la direction du commerce intérieur (qui est un service administratif), ne permet pas de mobiliser les ressources humaines et financières nécessaires à son fonctionnement efficient. Il a relevé quelques difficultés de ce laboratoire liées notamment à la prise en charge de la maintenance, l’entretien des locaux, l’acquisition des réactifs ou encore les coûts afférents à la démarche qualité.
Un certain nombre d’objectifs sont visés à travers la mise en place du LANAC. Il est question notamment de doter du laboratoire de l’ autonomie financière et de gestion ,d’améliorer les ressources générées par les prestations offertes aux entreprises et administrations . Le ministre a, souligné en outre la possibilité de continuer à bénéficier de la coopération des partenaires techniques et financiers tels que l’Union européenne et la coopération Belge qui ont contribué à doter le laboratoire d’un plateau technique moderne. « Par ailleurs, annonce Alioune Sarr aux députés, l’Union économique et monétaire oust africaine (UEMOA), dans la mise en œuvre du programme qualité Afrique de l’Ouest, a fortement recommandé aux Etats membres de confier les activités d’évaluation, de conformité (analyses, essais, certification, inspection) à des structures indépendantes dotées de la personnalité juridique et jouissant d’une autonomie financière ».
El Hadj Diakhaté
Un certain nombre d’objectifs sont visés à travers la mise en place du LANAC. Il est question notamment de doter du laboratoire de l’ autonomie financière et de gestion ,d’améliorer les ressources générées par les prestations offertes aux entreprises et administrations . Le ministre a, souligné en outre la possibilité de continuer à bénéficier de la coopération des partenaires techniques et financiers tels que l’Union européenne et la coopération Belge qui ont contribué à doter le laboratoire d’un plateau technique moderne. « Par ailleurs, annonce Alioune Sarr aux députés, l’Union économique et monétaire oust africaine (UEMOA), dans la mise en œuvre du programme qualité Afrique de l’Ouest, a fortement recommandé aux Etats membres de confier les activités d’évaluation, de conformité (analyses, essais, certification, inspection) à des structures indépendantes dotées de la personnalité juridique et jouissant d’une autonomie financière ».
El Hadj Diakhaté