
Le maire de la commune de Ndoyène, arrondissement de Darou Mousty dans le département de Kébémer (région de Louga) a émis une proposition relative au développement des emplois au Sénégal. En effet, Modou Ndoye, en l’occurrence, qui soutient que les projets et programmes mis en place par l’Etat du Sénégal en vue de développer l’emploi des jeunes sont très importants, trouve, tout de même, « une approche beaucoup plus participative et inclusive, touchant toute l’étendue du territoire national ».
Connu à travers ses actions et positions en faveur de la prospérité de sa localité, Modou Ndoye trouve une aubaine généralisée dans la mise en œuvre de ce qu’il appelle une politique de développement inclusif : « Une commune, une ferme agricole ».
Pour lui, le Sénégal compte 557 communes dont les 500 disposeraient, chacune, d’une assiette foncière qui pourrait abriter une ferme. En ce sens, dit-il, si l’on érige une ferme agricole de 10 ; 15 jusqu’à 20 ha selon la disponibilité des terres dans chacune de ces communes, pour 200 millions de francs Cfa, on peut mettre en place 500 fermes. Et d’ajouter : « Avec 100 milliards, on peut avoir 500 fermes qui pourront employés, chacune, au moins 100 jeunes, ce qui ferait 50 000 emplois directs ».
Par ailleurs professionnel en aménagement du territoire, décentralisation et développement local, M. Ndoye salue les efforts du président Macky Sall en matières de promotion de l’entreprenariat et de l’emploi des jeunes mais souligne, tout de même, l’importance d’alléger les procédures pour permettre aux porteurs de projets qui sont dans les contrées les plus reculées de bénéficier des financements et d’encadrement via la Der, la Bnde, l’Adepme, le Fongip, l’Anpej etc.
Bassirou MBAYE
Connu à travers ses actions et positions en faveur de la prospérité de sa localité, Modou Ndoye trouve une aubaine généralisée dans la mise en œuvre de ce qu’il appelle une politique de développement inclusif : « Une commune, une ferme agricole ».
Pour lui, le Sénégal compte 557 communes dont les 500 disposeraient, chacune, d’une assiette foncière qui pourrait abriter une ferme. En ce sens, dit-il, si l’on érige une ferme agricole de 10 ; 15 jusqu’à 20 ha selon la disponibilité des terres dans chacune de ces communes, pour 200 millions de francs Cfa, on peut mettre en place 500 fermes. Et d’ajouter : « Avec 100 milliards, on peut avoir 500 fermes qui pourront employés, chacune, au moins 100 jeunes, ce qui ferait 50 000 emplois directs ».
Par ailleurs professionnel en aménagement du territoire, décentralisation et développement local, M. Ndoye salue les efforts du président Macky Sall en matières de promotion de l’entreprenariat et de l’emploi des jeunes mais souligne, tout de même, l’importance d’alléger les procédures pour permettre aux porteurs de projets qui sont dans les contrées les plus reculées de bénéficier des financements et d’encadrement via la Der, la Bnde, l’Adepme, le Fongip, l’Anpej etc.
Bassirou MBAYE