
Pour Mankeur Ndiaye, ministère des Affaires Etrangères, qui donnait le coup d’envoi, les réflexions mettront l’accent sur l’actualité de l’année 2017, les avancées réalisées par les grands acteurs africains et leurs partenaires internationaux, et sur des approches novatrices dont celles concernant les liens entre sécurité et développement durable.
«Nous avons, cette année, un contexte international qui promet des évolutions nouvelles : aux Nations Unies, à l’Union Africaine, ou encore à l’Union Européenne. L’examen des débats actuellement en cours sera au cœur des sujets abordés lors de cette quatrième édition du Forum», indique-t-il.
Selon lui, le terrorisme et l’extrémisme violent, malgré les efforts déployés et les résultats obtenus restent encore des menaces persistantes contre lesquelles nous devons continuer le combat avec détermination.
A cette occasion, le ministre des Affaires Etrangères, a rappellé que le Forum de Dakar n’est pas un Sommet de Chefs d’Etat et de Gouvernement mais un cadre informel d’échanges regroupant des officiels et non officiels. Son organisation ne dépend pas donc de la présence des Chefs d’Etat.
«Notre Forum a pour vocation de maintenir une vigilance et une forte mobilisation par une réflexion partagée et des réponses communes», insiste-t-il.
L’édition du Forum de l’année dernière a rassemblé environ mille (1.000) participants de haut niveau et de qualité : Chefs d’Etat et de Gouvernement, responsables politiques de haut niveau, diplomates, militaires, experts et universitaires les plus qualifiés sur les thématiques abordées. Nous avons pu aussi mesurer l’intérêt du secteur privé pour la paix et de la sécurité sur le Continent.
Pathé TOURE
«Nous avons, cette année, un contexte international qui promet des évolutions nouvelles : aux Nations Unies, à l’Union Africaine, ou encore à l’Union Européenne. L’examen des débats actuellement en cours sera au cœur des sujets abordés lors de cette quatrième édition du Forum», indique-t-il.
Selon lui, le terrorisme et l’extrémisme violent, malgré les efforts déployés et les résultats obtenus restent encore des menaces persistantes contre lesquelles nous devons continuer le combat avec détermination.
A cette occasion, le ministre des Affaires Etrangères, a rappellé que le Forum de Dakar n’est pas un Sommet de Chefs d’Etat et de Gouvernement mais un cadre informel d’échanges regroupant des officiels et non officiels. Son organisation ne dépend pas donc de la présence des Chefs d’Etat.
«Notre Forum a pour vocation de maintenir une vigilance et une forte mobilisation par une réflexion partagée et des réponses communes», insiste-t-il.
L’édition du Forum de l’année dernière a rassemblé environ mille (1.000) participants de haut niveau et de qualité : Chefs d’Etat et de Gouvernement, responsables politiques de haut niveau, diplomates, militaires, experts et universitaires les plus qualifiés sur les thématiques abordées. Nous avons pu aussi mesurer l’intérêt du secteur privé pour la paix et de la sécurité sur le Continent.
Pathé TOURE