
Au sortir d’une une réunion avec le secrétaire d’Etat en charge du suivi du Pudc, Souleymane Jules Diop, Jeanne d’Arc Kagayo a déclaré que : «Le Burundi est un petit pays qui se cherche encore mais qui est aussi sur la lancée du développement local. Nous avions plusieurs questions et incompréhensions en venant ici, mais nous sommes heureux des réponses obtenues. Nous avons beaucoup appris. Nous avons compris qu’en confiant un programme au Pnud, ce n’est pas un recul mais c’est juste pour aller plus vite. Le Pudc est une réponse très urgente pour le Burundi car la plupart de nos villages manquent d’infrastructures socio-économiques de base». Pour le ministre Burundais, son pays peut profiter et apprendre de l’exemple du Pudc, avec l’appui du Sénégal et du Pnud. «Nous avons un enfant qui va naitre au Burundi et nous demandons au Sénégal de nous accompagner dans le cadre d’un partenariat Sud-sud. Nous sommes sur un programme semblable au Pudc du Sénégal et nous sommes très satisfaits de l’apprentissage », dit-elle.
Auparavant, le secrétaire d’Etat en charge du Pudc, Souleymane Jules Diop a indiqué que le Sénégal est disponible pour partager cette expérience nationale avec le Burundi. Il a rappelé qu’après deux ans d’exécution, le Pudc a permis l’électrification de plus de 400 villages, la réalisation de 3050 kilomètres de pistes rurales, 238 forages, l’installation de 5500 équipements post récoles, 200 micros et petites entreprises au profit des femmes et des jeunes. Avec ce programme, l’objectif était de sortir de la pauvreté 2,8 millions de Sénégalais. Le Pudc vise aussi à développer et à désenclaver les zones rurales qui manquaient de tout, en les électrifiant, en construisant des pistes de productions mais aussi en facilitant l’accès à l’eau.
Tidiane Diouf
Auparavant, le secrétaire d’Etat en charge du Pudc, Souleymane Jules Diop a indiqué que le Sénégal est disponible pour partager cette expérience nationale avec le Burundi. Il a rappelé qu’après deux ans d’exécution, le Pudc a permis l’électrification de plus de 400 villages, la réalisation de 3050 kilomètres de pistes rurales, 238 forages, l’installation de 5500 équipements post récoles, 200 micros et petites entreprises au profit des femmes et des jeunes. Avec ce programme, l’objectif était de sortir de la pauvreté 2,8 millions de Sénégalais. Le Pudc vise aussi à développer et à désenclaver les zones rurales qui manquaient de tout, en les électrifiant, en construisant des pistes de productions mais aussi en facilitant l’accès à l’eau.
Tidiane Diouf